‘’Qu’en haut, l’on soit déterminé par des audits à déceler les malversations dans la gestion des fonds publics et qu’à partir de là, on prenne des décisions qui permettent de condamner les malversations et essayer de voir comment récupérer l’argent en question et surtout empêcher que ce mal ne gangrène la société sénégalaise, on ne peut que prier Dieu’’, a dit Mgr Sarr, vendredi, à la fin de la Conférence épiscopale des évêques du Sénégal (28 mai-1er juin) au Cap des biches (Rufisque), selon l’Agence de presse sénégalaise (APS).
‘’(Il faut) prier Dieu pour que ceux qui ont en charge un tel travail, courageusement continuent leur travail d’investigation pour révéler la vérité pour que partout où il y a bonne gestion qu’on puisse s’en féliciter, et partout où il y a malversation qu’on puisse prendre les sanctions nécessaires’’, a dit l’archevêque de Dakar, au cours d’un point de presse.
Le cardinal a affirmé également que l’argent a pris une place considérable dans la politique tout comme dans le comportement quotidien des citoyens. ‘’Le Sénégal souffre de maux sociaux graves et en particulier du fait que l’argent a pris trop de place que ce soit dans la politique, que ce soit dans le comportement des citoyens entre eux, dans leurs lieux de travail ou dans leurs milieux de vie’’, soutient cardinal Sarr.
‘’Quand il y a des détournements dans une société, dans une agence, ce sont ses moyens d’action qui sont réduits de même que l’Etat. Quand un particulier voit son argent détourné ou volé c’est aussi lui qui est victime’’, a-t-il dit.
‘’Dans mon message de Noël, j’avais appelé ça la suprématie polluante de l’argent et si les Sénégalais acceptent aujourd’hui de prendre conscience qu’il y a un mal profond, il ne faut surtout pas qu’ils se résignent en disant qu’ils n’y peuvent rien’’, a-t-il dit.
Pour l’archevêque de Dakar, ‘’il faut que nous prenions conscience que c’est un mal réel qui se manifeste de plusieurs façons et porte beaucoup de préjudices aux personnes, aux familles, à l’Etat mais aussi aux sociétés’’.
L’archevêque a tout de même soutenu qu’il y a une vrai lutte à mener contre ce phénomène. ‘’Il faut que nous prenions conscience de ce mal qui est chez nous, mais qu’en en prenant conscience, que nous soyons déterminés à lutter contre’’, a-t-il souligné.
‘’(Il faut) prier Dieu pour que ceux qui ont en charge un tel travail, courageusement continuent leur travail d’investigation pour révéler la vérité pour que partout où il y a bonne gestion qu’on puisse s’en féliciter, et partout où il y a malversation qu’on puisse prendre les sanctions nécessaires’’, a dit l’archevêque de Dakar, au cours d’un point de presse.
Le cardinal a affirmé également que l’argent a pris une place considérable dans la politique tout comme dans le comportement quotidien des citoyens. ‘’Le Sénégal souffre de maux sociaux graves et en particulier du fait que l’argent a pris trop de place que ce soit dans la politique, que ce soit dans le comportement des citoyens entre eux, dans leurs lieux de travail ou dans leurs milieux de vie’’, soutient cardinal Sarr.
‘’Quand il y a des détournements dans une société, dans une agence, ce sont ses moyens d’action qui sont réduits de même que l’Etat. Quand un particulier voit son argent détourné ou volé c’est aussi lui qui est victime’’, a-t-il dit.
‘’Dans mon message de Noël, j’avais appelé ça la suprématie polluante de l’argent et si les Sénégalais acceptent aujourd’hui de prendre conscience qu’il y a un mal profond, il ne faut surtout pas qu’ils se résignent en disant qu’ils n’y peuvent rien’’, a-t-il dit.
Pour l’archevêque de Dakar, ‘’il faut que nous prenions conscience que c’est un mal réel qui se manifeste de plusieurs façons et porte beaucoup de préjudices aux personnes, aux familles, à l’Etat mais aussi aux sociétés’’.
L’archevêque a tout de même soutenu qu’il y a une vrai lutte à mener contre ce phénomène. ‘’Il faut que nous prenions conscience de ce mal qui est chez nous, mais qu’en en prenant conscience, que nous soyons déterminés à lutter contre’’, a-t-il souligné.
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24