Libération révélait qu'une enquête avait été ouverte après la découverte d'ossements massifs dans un bunker situé au sein du Foyer de charité du Cap des biches à Rufisque. Il est bien avéré que certains des ossements sont humains. D'ailleurs, la police de Rufisque, en charge de l'enquête, a adressé une réquisition à l'Institut fondamental d'Afrique noire (IFAN) en vue de déterminer s'il s'agissait ou non de vieux ossements. Pour rappel, le site où les ossements avaient été ouverts abritait, du temps colonial, un camp militaire.
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