« L’Administration ne nous regarde pas, il nous suffit d’un justificatif en bonne et due forme pour lever la mesure d’immobilisation qui pèse sur ces véhicules. Nous ne nous occupons pas des motivations de la décision de l’autorité, nous sommes de simples agents d’exécution, chargés d’assurer la sécurité de ces biens de l’Etat », martèle un agent des forces de l’ordre.
Selon toujours le même journal, dans les autres parkings non surveillés par les militaires ou policiers, on fait état de cas de soustraction de petites pièces de rechange. « Officiellement, c’est pour procéder à des réparations d’autres véhicules de l’Etat, mais nous ne saurions être catégoriques. Ce sont des mécaniciens, accompagnés d’agents de services étatiques reconnus, qui viennent démonter les pièces dont ils ont besoin avec l’aval de ceux qi nous ont confié les voitures. Cela passe évidemment inaperçu parce que lors de leurs, les chargés du contrôle ne font que compter, et à distance respectable, le nombre de véhicules garés, leur état semble peut leur importer, pourvu que le compte soit bon », déclare un vigile interrogé par nos confrères de « L’Observateur ».
Selon toujours le même journal, dans les autres parkings non surveillés par les militaires ou policiers, on fait état de cas de soustraction de petites pièces de rechange. « Officiellement, c’est pour procéder à des réparations d’autres véhicules de l’Etat, mais nous ne saurions être catégoriques. Ce sont des mécaniciens, accompagnés d’agents de services étatiques reconnus, qui viennent démonter les pièces dont ils ont besoin avec l’aval de ceux qi nous ont confié les voitures. Cela passe évidemment inaperçu parce que lors de leurs, les chargés du contrôle ne font que compter, et à distance respectable, le nombre de véhicules garés, leur état semble peut leur importer, pourvu que le compte soit bon », déclare un vigile interrogé par nos confrères de « L’Observateur ».