Depuis l’éclatement de plus d’1 tonne de cocaïne saisie par la Douane au Port de Dakar, Ibrahima Thiam alias Toubey ou le présumé cerveau avait pris la fuite. Traqué sans répit par la Police et la Gendarmerie, il s’est finalement rendu, hier, lundi chez le doyen des juges. Ce, pour se constituer prisonnier. Et surtout de sauver sa peau car « Le Témoin » quotidien a appris qu’Ibrahima Thiam alias Toubey faisait l’objet de réelles menaces à mort de la part des cartels brési- liens et mexicains l’accusant d’avoir « torpillé » par négligence le convoi de Dakar.
Une négligence synonyme de sabotage que les narcotrafiquants de la sous-région auraient du à pardonner à Toubey. Et surtout dans un narco-business où les narco-trafiquants ont mis beaucoup d’argent pour huiler et sécuriser le circuit c’est-à-dire de la production à la consommation en passant par le transport maritime, l’enlèvement et la réception.
Considéré comme un richissime homme d’affaires ayant plusieurs immeubles et parcs de vente de voitures de luxe, Ibrahima Thiam était l’un des fugitifs les plus re- cherchés au Sénégal. Et le reste du monde.
D’ailleurs depuis la saisie de la drogue, Ibrahima Thiam alias Toubey avait été signalé en Gambie, puis au Mali, au Maroc et en Cote d’Ivoire. Ce, comme l’attestent ses vingtaines de téléphones portables dont les numéros nationaux et internationaux avaient été repérés et bornés par les enquêteurs. Une fin de cavale qui va sans doute provoquer des rebondissements inattendus dans cette affaire.
Rappelons-le, les douanes sénégalaises avaient saisi près de 800 kg de cocaïne en provenance du Brésil cachée dans des véhicules neufs sur un bateau au port de Dakar. Cette nouvelle prise, après une précédente de 238 kg le 26 juin, porte à plus d’une tonne la quantité de cocaïne saisie en moins de deux semaines à Dakar. Depuis l’éclatement, au moins 15 personnes ont été arrêtées. Donc il ne restait la « pièce » Ibrahima Thiam « Toubey » pour permettre à la justice de de reconstituer le puzzle de la mort.
Le Temoin
Une négligence synonyme de sabotage que les narcotrafiquants de la sous-région auraient du à pardonner à Toubey. Et surtout dans un narco-business où les narco-trafiquants ont mis beaucoup d’argent pour huiler et sécuriser le circuit c’est-à-dire de la production à la consommation en passant par le transport maritime, l’enlèvement et la réception.
Considéré comme un richissime homme d’affaires ayant plusieurs immeubles et parcs de vente de voitures de luxe, Ibrahima Thiam était l’un des fugitifs les plus re- cherchés au Sénégal. Et le reste du monde.
D’ailleurs depuis la saisie de la drogue, Ibrahima Thiam alias Toubey avait été signalé en Gambie, puis au Mali, au Maroc et en Cote d’Ivoire. Ce, comme l’attestent ses vingtaines de téléphones portables dont les numéros nationaux et internationaux avaient été repérés et bornés par les enquêteurs. Une fin de cavale qui va sans doute provoquer des rebondissements inattendus dans cette affaire.
Rappelons-le, les douanes sénégalaises avaient saisi près de 800 kg de cocaïne en provenance du Brésil cachée dans des véhicules neufs sur un bateau au port de Dakar. Cette nouvelle prise, après une précédente de 238 kg le 26 juin, porte à plus d’une tonne la quantité de cocaïne saisie en moins de deux semaines à Dakar. Depuis l’éclatement, au moins 15 personnes ont été arrêtées. Donc il ne restait la « pièce » Ibrahima Thiam « Toubey » pour permettre à la justice de de reconstituer le puzzle de la mort.
Le Temoin