Maman et enfant. Maman et enfant.
Vincent Sosthène Fouda paie aujourd'hui son implication dans l'affaire du bébé volé. Ce journaliste et politicien avait largement contribué à ériger ce fait divers en quasi affaire d’Etat.
L’homme, qui comparaissait libre, a écopé mardi de quatre mois de prison avec sursis et d’une amende, pour avoir organisé une marche de soutien à Vanessa Tchatchou, une jeune maman dont le nouveau-né avait disparu dans un hôpital public, en août 2011.
Cette décision de justice, les conseils de Vincent Sosthène Fouda la trouvent excessive, dans la mesure où, expliquent-t-il, leur client est tout seul à être condamné pour attroupement et réunion illégale.
Trafic d'enfants dans les hôpitaux
Journaliste et politicien, Sosthène Fouda s’est surtout fait connaître pour son engagement dans cette fameuse affaire Tchatchou. Il avait inlassablement dénoncé un trafic d’enfants qui sévirait selon lui, dans les hôpitaux camerounais, avec la complicité de hautes personnalités.
Sosthène Fouda qualifie par ailleurs de catastrophe juridique, le procès qui avait condamné trois personnes pour l’enlèvement du nouveau-né, persuadé comme le reste de l’opinion publique d’ailleurs, que les coupables courent toujours.
Source : Rfi.fr
L’homme, qui comparaissait libre, a écopé mardi de quatre mois de prison avec sursis et d’une amende, pour avoir organisé une marche de soutien à Vanessa Tchatchou, une jeune maman dont le nouveau-né avait disparu dans un hôpital public, en août 2011.
Cette décision de justice, les conseils de Vincent Sosthène Fouda la trouvent excessive, dans la mesure où, expliquent-t-il, leur client est tout seul à être condamné pour attroupement et réunion illégale.
Trafic d'enfants dans les hôpitaux
Journaliste et politicien, Sosthène Fouda s’est surtout fait connaître pour son engagement dans cette fameuse affaire Tchatchou. Il avait inlassablement dénoncé un trafic d’enfants qui sévirait selon lui, dans les hôpitaux camerounais, avec la complicité de hautes personnalités.
Sosthène Fouda qualifie par ailleurs de catastrophe juridique, le procès qui avait condamné trois personnes pour l’enlèvement du nouveau-né, persuadé comme le reste de l’opinion publique d’ailleurs, que les coupables courent toujours.
Source : Rfi.fr