René Capin Bassène, considéré comme le planificateur présumé du massacre de Bofa-Bayotte, a été admis mardi aux urgences de l'hôpital de la Paix de Ziguinchor.
Le journaliste souffrirait de séquelles liées à son enquête préliminaire. Il a notamment subi une tympanographie de l'oreille droite, où un tympan en plastique avait été posé pour remplacer un tympan endommagé, informe Libération. Une intervention chirurgicale pourrait être envisagée, a appris PressAfrik de la famille de René.
Condamné en appel à la réclusion criminelle à perpétuité dans le cadre du massacre de Bofa-Bayotte, René Capin Bassène continue de clamer son innocence. Il a souvent refusé de s’alimenter ou de recevoir des soins médicaux, compliquant davantage son état de santé.
En août 2024, la société civile de Ziguinchor, notamment à travers l’organisation "Vision Citoyenne", avait alerté sur la dégradation de sa santé. À cette époque, le détenu avait observé une grève de la faim sévère ("diète noire") à la suite de sa condamnation.
Le journaliste souffrirait de séquelles liées à son enquête préliminaire. Il a notamment subi une tympanographie de l'oreille droite, où un tympan en plastique avait été posé pour remplacer un tympan endommagé, informe Libération. Une intervention chirurgicale pourrait être envisagée, a appris PressAfrik de la famille de René.
Condamné en appel à la réclusion criminelle à perpétuité dans le cadre du massacre de Bofa-Bayotte, René Capin Bassène continue de clamer son innocence. Il a souvent refusé de s’alimenter ou de recevoir des soins médicaux, compliquant davantage son état de santé.
En août 2024, la société civile de Ziguinchor, notamment à travers l’organisation "Vision Citoyenne", avait alerté sur la dégradation de sa santé. À cette époque, le détenu avait observé une grève de la faim sévère ("diète noire") à la suite de sa condamnation.