Grand Yoff a été le théâtre d'affrontements entre les partisans du maire de Dakar et ceux de l’édile de Ziguinchor (sud) ont eu lieu Les pros Sonko et ceux de Barthelemy Dias en sont venus aux mains hier samedi, lors du premier rassemblement du front de résistance qui regroupe plusieurs entités de l’opposition et la société civile. Les deux camps s’accusent mutuellement d’avoir utilisé des armes blanches alors qu’ils étaient censés porter le même combat.
Le coordinateur du F24, Mamadou Mbodji s’en indigne et soupçonne l’infiltration de nervis et fait savoir que des discutions sont en cours pour recoller les morceaux entre ces deux partis.
« Apparemment y a eu des jets de pierres, des voitures caillassés des personnes blessées, c’est ça qui est déplorable et ce n’est pas acceptable. Mais quand on en vient maintenant à disperser la foule par des jets de pierres, ça devient très dangereux surtout que c’est ça l’intention du départ. Si c’est un accident qui arrive comme, ça peut être, on peut trouver une solution, mais si c’est un incident préparé avant l’événement, ce qui est très grave, s’il y a des gens qui sont là pour saboter tout le temps, il faut que nous, on prend nos dispositions.
Mais si c’est un mal entendu , je crois qu’on peut y remédier rapidement. Parce qu’il suffit de parler avec les uns et les autres, de les conscientiser pour qu’ils comprennent qu’il n’y a pas d’adversité entre nous et que les gens ont le droit de parler, on est ensemble. Maintenant s’il y a des gens qui se sont infiltrés en notre sein pour saboter sciemment nos manifestations, là ce serait un peu plus compliqué mais on y arrivera », a-t-il confié à Iradio.
Le coordinateur du F24, Mamadou Mbodji s’en indigne et soupçonne l’infiltration de nervis et fait savoir que des discutions sont en cours pour recoller les morceaux entre ces deux partis.
« Apparemment y a eu des jets de pierres, des voitures caillassés des personnes blessées, c’est ça qui est déplorable et ce n’est pas acceptable. Mais quand on en vient maintenant à disperser la foule par des jets de pierres, ça devient très dangereux surtout que c’est ça l’intention du départ. Si c’est un accident qui arrive comme, ça peut être, on peut trouver une solution, mais si c’est un incident préparé avant l’événement, ce qui est très grave, s’il y a des gens qui sont là pour saboter tout le temps, il faut que nous, on prend nos dispositions.
Mais si c’est un mal entendu , je crois qu’on peut y remédier rapidement. Parce qu’il suffit de parler avec les uns et les autres, de les conscientiser pour qu’ils comprennent qu’il n’y a pas d’adversité entre nous et que les gens ont le droit de parler, on est ensemble. Maintenant s’il y a des gens qui se sont infiltrés en notre sein pour saboter sciemment nos manifestations, là ce serait un peu plus compliqué mais on y arrivera », a-t-il confié à Iradio.
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