La contrefaçon de logiciels et de marque est un phénomène planétaire qui impacte aussi bien les éditeurs de logiciels, les entreprises et les économies nationales. La concurrence déloyale que leur imposent les contrefacteurs, entraine des pertes considérables : destruction d’emplois, pertes de recettes fiscales, frein à l’innovation informatique…
« Malgré notre leadership sur le marché, le piratage reste un facteur qui pénalise non seulement Sage et notre activité, mais aussi la dynamique de développement de l’édition des logiciels sur le continent et donc l’activité économique en découlant », regrette Fabien Poggi, directeur export de Sage.
Pour preuve, les chiffres sur l’étendue du phénomène sont préoccupants. Selon la dernière étude du regroupement des éditeurs internationaux “The Software Alliance” (BSA), le taux de piratage de logiciels sur la zone Afrique/Moyen-Orient s’est établi à hauteur de 59 % en 2013 et s’envole sur des pays comme l’Algérie (85%), le Cameroun (82%) ou encore la Côte d’Ivoire (80%). Ce taux préoccupant n’a enregistré aucune tendance à la baisse depuis 2009.
Ces décisions de justice interviennent après de nombreuses actions de sensibilisation menées par Sage auprès des institutionnels, avec d’autres éditeurs internationaux. En parallèle, Sage attire l’attention du public et des entreprises aux risques liés à l’utilisation de logiciels piratés que ce soit sur des ordinateurs, des mobiles ou encore dans le “cloud” et sur la nécessité de mettre en place des programmes de gestion des actifs logiciels, afin de favoriser l’efficacité opérationnelle qui profite directement à leur productivité. Pour toute question, une adresse est mise à leur disposition :
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