L'Ambassadeur sud-africain expulsé des États-Unis, Ebrahim Rasool - pour avoir qualifié la politique américain de « suprémaciste » vient de rentrer en Afrique du Sud.
Il a atterri en fin de matinée à l'aéroport international du Cap, accueilli par quelques centaines de personnes, principalement de l’ANC, venues le soutenir. Mégaphone à la main devant l'aéroport, il a déclaré ne pas avoir de regret, mais s’est aussi dit déçu de ne pas avoir atteint ses objectifs en tant qu’ambassadeur aux États-Unis, notamment pour rétablir la vérité sur la politique sud-africaine, dans un contexte diplomatique tendu. En arrivant dans le hall de l'aéroport, Ebrahim Rasool se fraie un chemin au milieu de la foule. Quelques centaines de personnes, principalement des militants de l’ANC, sont venues soutenir celui qui a été exclu des États-Unis pour avoir qualifié la politique américaine de « suprémaciste ».
« Nous n’avons pas choisi de rentrer chez nous, mais nous rentrons sans regrets », déclare-t-il.
Pas de regrets, mais le rappel tout de même que dans un contexte diplomatique tendu entre les deux pays, le rôle d’ambassadeur est particulièrement complexe, même pour le diplomate qui avait déjà été ambassadeur sous la présidence Obama.
Il a atterri en fin de matinée à l'aéroport international du Cap, accueilli par quelques centaines de personnes, principalement de l’ANC, venues le soutenir. Mégaphone à la main devant l'aéroport, il a déclaré ne pas avoir de regret, mais s’est aussi dit déçu de ne pas avoir atteint ses objectifs en tant qu’ambassadeur aux États-Unis, notamment pour rétablir la vérité sur la politique sud-africaine, dans un contexte diplomatique tendu. En arrivant dans le hall de l'aéroport, Ebrahim Rasool se fraie un chemin au milieu de la foule. Quelques centaines de personnes, principalement des militants de l’ANC, sont venues soutenir celui qui a été exclu des États-Unis pour avoir qualifié la politique américaine de « suprémaciste ».
« Nous n’avons pas choisi de rentrer chez nous, mais nous rentrons sans regrets », déclare-t-il.
Pas de regrets, mais le rappel tout de même que dans un contexte diplomatique tendu entre les deux pays, le rôle d’ambassadeur est particulièrement complexe, même pour le diplomate qui avait déjà été ambassadeur sous la présidence Obama.
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