« Nous suspendons les débats jusqu’à vendredi matin (…) de façon à ce que les avocats des deux parties trouvent un accord », a annoncé le président de la commission, le juge Raymond Zondo, à l’issue d’un énième incident de séance.
« J’ai bon espoir qu’il sera possible de trouver un moyen de prendre en compte les préoccupations de l’ancien président« , a-t-il ajouté.
Jacob Zuma témoigne depuis lundi devant la commission, chargée de faire la lumière sur les nombreux scandales qui ont éclaboussé sa présidence (2009-2018) et l’ont contraint à la démission il y a un an et demi.
L’ex-chef de l’Etat a nié toute implication dans ces affaires de corruption, en criant à la « calomnie » et en dénonçant un « complot » destiné à l’éliminer voire « l’assassiner ».
Trous de mémoire
Depuis lundi après-midi, M. Zuma, qui dépose de son plein gré devant cette instance sans pouvoir judiciaire, est pressé de questions sur les témoignages qui l’ont mis en cause. « Je ne me souviens pas », a-t-il largement esquivé jusque-là. Interrogé mercredi sur la nomination d’un haut fonctionnaire qu’il aurait imposée, Jacob Zuma s’est une nouvelle fois plaint de faire l’objet d’un « interrogatoire ».
« J’ai bon espoir qu’il sera possible de trouver un moyen de prendre en compte les préoccupations de l’ancien président« , a-t-il ajouté.
Jacob Zuma témoigne depuis lundi devant la commission, chargée de faire la lumière sur les nombreux scandales qui ont éclaboussé sa présidence (2009-2018) et l’ont contraint à la démission il y a un an et demi.
L’ex-chef de l’Etat a nié toute implication dans ces affaires de corruption, en criant à la « calomnie » et en dénonçant un « complot » destiné à l’éliminer voire « l’assassiner ».
Trous de mémoire
Depuis lundi après-midi, M. Zuma, qui dépose de son plein gré devant cette instance sans pouvoir judiciaire, est pressé de questions sur les témoignages qui l’ont mis en cause. « Je ne me souviens pas », a-t-il largement esquivé jusque-là. Interrogé mercredi sur la nomination d’un haut fonctionnaire qu’il aurait imposée, Jacob Zuma s’est une nouvelle fois plaint de faire l’objet d’un « interrogatoire ».