« Globalement, la production céréalière prévisionnelle 2010/2011 au Sahel et en Afrique de l’Ouest, à l’exception du Sénégal et du Mali, est de 51 031 000 Tonnes contre 45 486 000 Tonnes en 2009/2010, soit une hausse relative de 12 % par rapport à l’année dernière. Par rapport à l’année dernière, des hausses significatives de productions céréalières sont attendues au Tchad, au Niger et au Burkina Faso ». C’est ce qu’on peut lire d’un communiqué des services de Communication du Centre Régional AGRHYMET à l’issu de la concertation régionale sur les bilans céréaliers et alimentaires 2009/2010 et prévisionnels 2010/2011 des pays du CILSS et de la CEDEAO.
« La production de riz est estimée à 9 850 000 tonnes (soit +5% par rapport à 2009/2010). Des baisses de production de riz sont prévues au Bénin, au Togo et au Niger. La production de maïs (15 439 000 tonnes) est en hausse de 3% par rapport à 2009/2010. Les prévisions de production des autres cultures se chiffrent à 55 462 000 tonnes pour l’igname et 76 304 000 tonnes pour le manioc ». Un résultat acquis malgré les inondations au niveau de certaines zones précise le centre.
« Les bonnes perspectives de productions agricoles et pastorales ont occasionné la baisse des prix de céréales sèches depuis l’arrivée des nouvelles récoltes sur les marchés. Ceci augure des perspectives alimentaires satisfaisantes pour la majorité des populations pastorales, agropastorales et des cultivateurs en milieu rural », renseigne le communiqué.
Une rencontre a été organisée sur ces évaluations du 3 au 5 Novembre 2010 à Ouagadougou au Burkina Faso par le CILSS en collaboration avec FEWSNET, la FAO et le PAM.
« La production de riz est estimée à 9 850 000 tonnes (soit +5% par rapport à 2009/2010). Des baisses de production de riz sont prévues au Bénin, au Togo et au Niger. La production de maïs (15 439 000 tonnes) est en hausse de 3% par rapport à 2009/2010. Les prévisions de production des autres cultures se chiffrent à 55 462 000 tonnes pour l’igname et 76 304 000 tonnes pour le manioc ». Un résultat acquis malgré les inondations au niveau de certaines zones précise le centre.
« Les bonnes perspectives de productions agricoles et pastorales ont occasionné la baisse des prix de céréales sèches depuis l’arrivée des nouvelles récoltes sur les marchés. Ceci augure des perspectives alimentaires satisfaisantes pour la majorité des populations pastorales, agropastorales et des cultivateurs en milieu rural », renseigne le communiqué.
Une rencontre a été organisée sur ces évaluations du 3 au 5 Novembre 2010 à Ouagadougou au Burkina Faso par le CILSS en collaboration avec FEWSNET, la FAO et le PAM.
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