Les quotidiens de la presse Sénégalaise
L’aide à la presse est une subvention annuelle de 300 millions de francs CFA attribuée aux médias selon un certain nombre de critères de professionnalisme. Au crépuscule de l’année 2008, le montant n’est toujours pas décaissé par l’Etat. «Préoccupés en effet par le mutisme qui entoure cette question, les éditeurs de presse demandent à l’Etat du Sénégal de les édifier sur les raisons qui justifient la rétention de ces fonds pourtant régulièrement votés à l’Assemblée nationale et devant être mis à la disposition des organes de presse respectant les critères de leur attribution», a indiqué le communiqué des patrons de presse reçu ce mardi.
Les éditeurs de presse ont interpellé l’Etat du Sénégal sur le risque de voir cette ligne tomber dans les Fonds libres. Ils ont rappelé à l’Etat que «cette ligne budgétaire, comme toutes les autres inscrites légalement dans le Budget, constitue un droit et non une faveur que les pouvoirs publics attribueraient au goût de leurs humeurs et selon le contexte». Et d’ajouter : «conscients du fait qu’un amalgame est sciemment entretenu par les pouvoirs publics tendant à faire croire à l’opinion que ces Fonds constituent une sorte de faveur que le pouvoir accorde à la presse, les éditeurs de presse attirent l’attention de l’opinion nationale que cette subvention accordée à la presse constitue un acquis consigné dans la loi, devant permettre aux organes de presse de mieux assurer leur mission de service public».
Les patrons de presse ont, en outre, souligné que «la presse, outre sa mission de service public, joue un rôle économique important ; participant sans conteste à la création de milliers d’emplois». C’est pourquoi, a noté le communiqué, ils exigent le payement sans délai de cette subvention.
Selon la même source, «les Editeurs de presse, tout en rappelant à l’Etat du Sénégal qu’aucun prétexte ne saurait justifier la rétention arbitraire de ces fonds, a mis sur pied un Comité chargé de prendre contact avec les autorités pour s’enquérir de ce blocage et le cas échéant lui trouver une solution idoine».
Les patrons de presse ont, par ailleurs évoquer la situation difficile que traverse le secteur de la presse en vue d’y apporter des solutions.
Les éditeurs de presse ont interpellé l’Etat du Sénégal sur le risque de voir cette ligne tomber dans les Fonds libres. Ils ont rappelé à l’Etat que «cette ligne budgétaire, comme toutes les autres inscrites légalement dans le Budget, constitue un droit et non une faveur que les pouvoirs publics attribueraient au goût de leurs humeurs et selon le contexte». Et d’ajouter : «conscients du fait qu’un amalgame est sciemment entretenu par les pouvoirs publics tendant à faire croire à l’opinion que ces Fonds constituent une sorte de faveur que le pouvoir accorde à la presse, les éditeurs de presse attirent l’attention de l’opinion nationale que cette subvention accordée à la presse constitue un acquis consigné dans la loi, devant permettre aux organes de presse de mieux assurer leur mission de service public».
Les patrons de presse ont, en outre, souligné que «la presse, outre sa mission de service public, joue un rôle économique important ; participant sans conteste à la création de milliers d’emplois». C’est pourquoi, a noté le communiqué, ils exigent le payement sans délai de cette subvention.
Selon la même source, «les Editeurs de presse, tout en rappelant à l’Etat du Sénégal qu’aucun prétexte ne saurait justifier la rétention arbitraire de ces fonds, a mis sur pied un Comité chargé de prendre contact avec les autorités pour s’enquérir de ce blocage et le cas échéant lui trouver une solution idoine».
Les patrons de presse ont, par ailleurs évoquer la situation difficile que traverse le secteur de la presse en vue d’y apporter des solutions.