Le parti démocratique sénégalais (Pds) a proposé un certain nombre de mesures comme réponse à la détresse de leurs compatriotes victimes des inondations. C’était hier, lundi 3 septembre, lors d’une conférence de presse tenue à la Permanence nationale. Les camarades D’oumar Sarr proposent « Le réaménagement du budget d’investissement évalué à plus de 800 milliards de francs Cfa sur lequel il est possible de défalquer environs 300 milliards représentant l’apport des partenaires financiers pour affecter la moitié des 500 milliards restant, soit 250 milliards, à la lutte contre les inondations».
De même que «L’affectation de la moitié des fonds politiques du président de la République (évalués à 6 milliards)à la lutte contre les inondations et à l’aide aux sinistrés ». Sans oublier « L’affectation de la moitié des fonds politiques du Président de l’Assemblée Nationales à la lutte contre les effets des inondations. La réduction de la taille de l’exécutif, notamment de la taille pléthorique de ministres, conseillers au cabinet du président de la République». Les responsables du Pds s’empressent d’ajouter « L’amateurisme du gouvernement sur cette question, son immobilisme, son manque de vision à long terme et un populisme béant qui conduiront inexorablement à un échec lamentable au grand détriment des populations des zones inondées»
Par ailleurs, les libéraux soutiennent que la suppression du Sénat n’est « qu’un leurre ». Pour le Pds, le régime de Macky Sall a fait machine arrière parce qu’il était conscient de la «victoire certaine » des libéraux « qui a la majorité des élus locaux ». A cela s’ajoute, dit-il, la pression d’une partie des « assisards » et du M 23. « Il y a lieu de rappeler que la suppression du Sénat n’apportera que 4 milliards alors que le plan directeur annoncé élaboré par le régime libéral chiffre à plusieurs centaine de milliards de Francs Cfa », déclarent les libéraux.
Sur un autre registre, le groupe parlementaire des libéraux et démocratiques a informé le Comité directeur de sa décision de saisir la Cour Suprême « pour faire annuler la convocation de l’Assemblée nationale en session extraordinaire pour entendre la déclaration de politique générale du Premier ministre, qui est programmée pour être faite avec presque deux mois de retard en violation du règlement intérieur de l’Assemblée nationale et dans un mépris inacceptable de l’institution parlementaire».
Le Pds soutient que «Toute déclaration de politique générale faite plus de trois mois après la formation du gouvernement se ferait en violation de l’article 97 alinéa 3 du règlement intérieur ».
Les camarades d’Oumar Sarr ont aussi dénoncé la façon dont le régime de Macky Sall conduit les audits. Les libéraux « regrettent que le gouvernement procède par sélection, ce qui s’apparente plus à un règlement de compte politicien qu’à un désir d’avoir un état des lieux et, le cas échéant, sanctionner tous ceux qui, de 2000 à 2012 ont exercé des fonctions et géré des deniers publics».
Avec Sudonline
De même que «L’affectation de la moitié des fonds politiques du président de la République (évalués à 6 milliards)à la lutte contre les inondations et à l’aide aux sinistrés ». Sans oublier « L’affectation de la moitié des fonds politiques du Président de l’Assemblée Nationales à la lutte contre les effets des inondations. La réduction de la taille de l’exécutif, notamment de la taille pléthorique de ministres, conseillers au cabinet du président de la République». Les responsables du Pds s’empressent d’ajouter « L’amateurisme du gouvernement sur cette question, son immobilisme, son manque de vision à long terme et un populisme béant qui conduiront inexorablement à un échec lamentable au grand détriment des populations des zones inondées»
Par ailleurs, les libéraux soutiennent que la suppression du Sénat n’est « qu’un leurre ». Pour le Pds, le régime de Macky Sall a fait machine arrière parce qu’il était conscient de la «victoire certaine » des libéraux « qui a la majorité des élus locaux ». A cela s’ajoute, dit-il, la pression d’une partie des « assisards » et du M 23. « Il y a lieu de rappeler que la suppression du Sénat n’apportera que 4 milliards alors que le plan directeur annoncé élaboré par le régime libéral chiffre à plusieurs centaine de milliards de Francs Cfa », déclarent les libéraux.
Sur un autre registre, le groupe parlementaire des libéraux et démocratiques a informé le Comité directeur de sa décision de saisir la Cour Suprême « pour faire annuler la convocation de l’Assemblée nationale en session extraordinaire pour entendre la déclaration de politique générale du Premier ministre, qui est programmée pour être faite avec presque deux mois de retard en violation du règlement intérieur de l’Assemblée nationale et dans un mépris inacceptable de l’institution parlementaire».
Le Pds soutient que «Toute déclaration de politique générale faite plus de trois mois après la formation du gouvernement se ferait en violation de l’article 97 alinéa 3 du règlement intérieur ».
Les camarades d’Oumar Sarr ont aussi dénoncé la façon dont le régime de Macky Sall conduit les audits. Les libéraux « regrettent que le gouvernement procède par sélection, ce qui s’apparente plus à un règlement de compte politicien qu’à un désir d’avoir un état des lieux et, le cas échéant, sanctionner tous ceux qui, de 2000 à 2012 ont exercé des fonctions et géré des deniers publics».
Avec Sudonline
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