Cette session de formation et de sensibilisation permettra aux Organisations de la Société Civile et aux Syndicats de connaître davantage les normes nationales et internationales applicables, d’assimiler les dispositions pertinentes du Code électoral favorables aux droits humains ainsi que le monitoring des droits humains en période électorale.
« La thématique relative aux élections et aux droits humains occupe une place importante dans les processus de démocratisation et d’affirmation de l’Etat de droit. Ainsi, une élection crédible, expression conforme de la volonté du peuple, doit garantir le respect et la protection d’un ensemble de droits humains et de libertés fondamentales consacrés par les normes du droit interne et du droit international », a déclaré le directeur Résident Sénior du Ndi / Sénégal (National democratic institute) , Alain Ayadokoun .
Qui a précisé que : « l’organisation d’élections libres, crédibles, transparentes et inclusives suppose le respect des droits humains. Il s’agit essentiellement des droits qui se rapportent aux garanties de participation aux affaires publiques de son pays de tout humain remplissant les conditions fixées par la loi. »
Selon lui, l’enjeu principal est de garantir le respect du droit de chaque citoyen de participer au scrutin sous réserve des conditions requises, du droit de vote, du droit à la marche, de la liberté d’opinion et d’expression ainsi que de la liberté d’association. D’autres droits peuvent se rapporter directement à la conduite d’un processus électoral équitable et crédible.
« On pense notamment au respect du droit à l’information électorale, au respect du droit des partis politiques, à l’égal accès aux médias publics et à l’égalité du traitement médiatique entre les différents candidats à une élection. Ces considérations font appel aux dispositions pertinentes du Code électoral en la matière, ainsi qu’aux attributions des Organes de gestion des élections (OGE). Ce qui explique la première communication de cette session de formation », a ajouté Alain Ayadokun.
A l’en croire, le contrôle et l’évaluation du respect des droits humains en période électorale est une partie importante de la problématique, par le biais de l’observation électorale qui est un moyen de s’assurer que les droits humains sont effectivement respectés en période électorale. Elle s’appuie sur la collecte de données tout le long du processus électoral ainsi que l’analyse des faits, d’où l’importance du thème relatif rôle de la société civile dans le monitoring des droits humains en période électorale.
Le National democratic Institute appelle ainsi l’ensemble des parties prenantes du processus électoral à « s’engager » pour une élection présidentielle crédible, transparente, inclusive et apaisée.
« La thématique relative aux élections et aux droits humains occupe une place importante dans les processus de démocratisation et d’affirmation de l’Etat de droit. Ainsi, une élection crédible, expression conforme de la volonté du peuple, doit garantir le respect et la protection d’un ensemble de droits humains et de libertés fondamentales consacrés par les normes du droit interne et du droit international », a déclaré le directeur Résident Sénior du Ndi / Sénégal (National democratic institute) , Alain Ayadokoun .
Qui a précisé que : « l’organisation d’élections libres, crédibles, transparentes et inclusives suppose le respect des droits humains. Il s’agit essentiellement des droits qui se rapportent aux garanties de participation aux affaires publiques de son pays de tout humain remplissant les conditions fixées par la loi. »
Selon lui, l’enjeu principal est de garantir le respect du droit de chaque citoyen de participer au scrutin sous réserve des conditions requises, du droit de vote, du droit à la marche, de la liberté d’opinion et d’expression ainsi que de la liberté d’association. D’autres droits peuvent se rapporter directement à la conduite d’un processus électoral équitable et crédible.
« On pense notamment au respect du droit à l’information électorale, au respect du droit des partis politiques, à l’égal accès aux médias publics et à l’égalité du traitement médiatique entre les différents candidats à une élection. Ces considérations font appel aux dispositions pertinentes du Code électoral en la matière, ainsi qu’aux attributions des Organes de gestion des élections (OGE). Ce qui explique la première communication de cette session de formation », a ajouté Alain Ayadokun.
A l’en croire, le contrôle et l’évaluation du respect des droits humains en période électorale est une partie importante de la problématique, par le biais de l’observation électorale qui est un moyen de s’assurer que les droits humains sont effectivement respectés en période électorale. Elle s’appuie sur la collecte de données tout le long du processus électoral ainsi que l’analyse des faits, d’où l’importance du thème relatif rôle de la société civile dans le monitoring des droits humains en période électorale.
Le National democratic Institute appelle ainsi l’ensemble des parties prenantes du processus électoral à « s’engager » pour une élection présidentielle crédible, transparente, inclusive et apaisée.
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