Un représentant du MFDC à Ziguinchor contacté par l’APS a reconnu avoir appris la nouvelle par le même canal sans avoir à ce sujet une confirmation de la part de responsables du mouvement se trouvant dans le maquis ou à l’extérieur du Sénégal.
Il a ajouté que des responsables du mouvement lui ont fait comprendre que Djiba ‘’était gravement malade’’.
Alexandre Djiba et d’autres membres du mouvement séparatiste étaient incarcérés en Gambie depuis 2007, sous l’accusation de complicité dans un putsch manqué contre le Président Jammeh.
S’opposant à la tenue des négociations avec le gouvernement, il avait critiqué les assises de Ziguinchor en 2003 dans une interview à RFI. Il disait notamment que "les assises de Ziguinchor ont été organisées par le gouvernement sénégalais avec un groupe de militants du MFDC proches de l’abbé Augustin Diamacoune Senghor".
Arguant que ‘’le gouvernement sénégalais veut pousser le MFDC à la capitulation’’, Alexandre Djiba n’avait pas pris part aux assises de Ziguinchor marquées par l’annonce de la fin du conflit en Casamance faite par Jean Marie François Biagui, secrétaire général du MFDC. C’était avec la bénédiction du chef historique du mouvement, feu Abbé Augustin Diamacoune Senghor.
Il a ajouté que des responsables du mouvement lui ont fait comprendre que Djiba ‘’était gravement malade’’.
Alexandre Djiba et d’autres membres du mouvement séparatiste étaient incarcérés en Gambie depuis 2007, sous l’accusation de complicité dans un putsch manqué contre le Président Jammeh.
S’opposant à la tenue des négociations avec le gouvernement, il avait critiqué les assises de Ziguinchor en 2003 dans une interview à RFI. Il disait notamment que "les assises de Ziguinchor ont été organisées par le gouvernement sénégalais avec un groupe de militants du MFDC proches de l’abbé Augustin Diamacoune Senghor".
Arguant que ‘’le gouvernement sénégalais veut pousser le MFDC à la capitulation’’, Alexandre Djiba n’avait pas pris part aux assises de Ziguinchor marquées par l’annonce de la fin du conflit en Casamance faite par Jean Marie François Biagui, secrétaire général du MFDC. C’était avec la bénédiction du chef historique du mouvement, feu Abbé Augustin Diamacoune Senghor.