Le conseil constitutionnel en Algérie annonce qu'il n'est pas possible d'organiser des élections présidentielles le mois prochain.
Le Conseil déclare avoir rejeté les candidatures des deux candidats en lice et qu'il est donc impossible de tenir le vote le 4 juillet.
Le scrutin du 4 juillet était censé permettre l'élection d'un successeur au président Abdelaziz Bouteflika, qui a démissionné le 2 avril sous la pression de la rue et de l'armée.
Le Conseil précise qu'il revient au chef de l'Etat par intérim de convoquer à nouveau le corps électoral et de parachever le processus électoral jusqu'à l'élection du président de la République.
"Considérant que dès lors que la Constitution prévoit que la mission essentielle dévolue à celui investi de la charge de chef de l'Etat est d'organiser la présidentielle, il y a lieu de réunir les conditions adéquates pour l'organisation de cette élection dans la transparence et la neutralité", ajoute le texte.
Pour l'analyste politique Kader Abderrahim, les algériens doivent produire eux-mêmes une feuille de route à l'image de ce qui s'est passé au Soudan.
Depuis le 22 février, les Algériens sortent chaque vendredi massivement dans les rues, notamment à Alger, pour réclamer un changement du "système" politique.
Le Conseil déclare avoir rejeté les candidatures des deux candidats en lice et qu'il est donc impossible de tenir le vote le 4 juillet.
Le scrutin du 4 juillet était censé permettre l'élection d'un successeur au président Abdelaziz Bouteflika, qui a démissionné le 2 avril sous la pression de la rue et de l'armée.
Le Conseil précise qu'il revient au chef de l'Etat par intérim de convoquer à nouveau le corps électoral et de parachever le processus électoral jusqu'à l'élection du président de la République.
"Considérant que dès lors que la Constitution prévoit que la mission essentielle dévolue à celui investi de la charge de chef de l'Etat est d'organiser la présidentielle, il y a lieu de réunir les conditions adéquates pour l'organisation de cette élection dans la transparence et la neutralité", ajoute le texte.
Pour l'analyste politique Kader Abderrahim, les algériens doivent produire eux-mêmes une feuille de route à l'image de ce qui s'est passé au Soudan.
Depuis le 22 février, les Algériens sortent chaque vendredi massivement dans les rues, notamment à Alger, pour réclamer un changement du "système" politique.
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