Halim, 30 ans, a les joues creusées par sa grève de la faim. Mais il a le sourire. « Nous sommes contents parce que la justice, aujourd’hui, a fait son travail correctement. Quand ils ont regardé tous nos PV de grève, les photos de grève, les cas qu’on a reçus, tous ont refusé le dossier », explique-t-il.
Malgré la décision de justice, la grève se poursuit. « On n’a pas confiance. La justice nous dit qu’on a raison et l’employeur affirme le contraire. On n’a rien reçu, pourquoi arrêter la grève ? », s’étonne Fouad Djida, l’un des représentants des travailleurs.
Les sociétés qui emploient les grévistes sont toutes des sous-traitantes de l’entreprise nationale de pétrole, la Sonatrach. Et c’est désormais celle-ci que les grévistes mettent en cause. « Elle ne dit rien. Sonatrach a le poids de changer cette situation. Elle peut résilier le contrat, elle peut nous embaucher directement. C’est simple », argue encore Fouad.
Après leur première victoire en justice, les grévistes ont décidé de porter plainte contre leurs employeurs. Ils réclament des dommages et intérêts en plus du respect du droit du travail.
Source: RFI
Malgré la décision de justice, la grève se poursuit. « On n’a pas confiance. La justice nous dit qu’on a raison et l’employeur affirme le contraire. On n’a rien reçu, pourquoi arrêter la grève ? », s’étonne Fouad Djida, l’un des représentants des travailleurs.
Les sociétés qui emploient les grévistes sont toutes des sous-traitantes de l’entreprise nationale de pétrole, la Sonatrach. Et c’est désormais celle-ci que les grévistes mettent en cause. « Elle ne dit rien. Sonatrach a le poids de changer cette situation. Elle peut résilier le contrat, elle peut nous embaucher directement. C’est simple », argue encore Fouad.
Après leur première victoire en justice, les grévistes ont décidé de porter plainte contre leurs employeurs. Ils réclament des dommages et intérêts en plus du respect du droit du travail.
Source: RFI