Le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Ali Haïdar a laissé croire que le désert menace la Casamance. Face a l’ampleur du déboisement, du défrichement des sols et des feux de brousses notés un peu partout, la montée des périls écologiques en Casamance préoccupe au plus haut point Ali Haïdar. Au terme d’une tournée dans le Centre, l’Est et le Sud du pays, le ministre de l'Environnement a fait part de son inqiétude à la presse concernant la menace que constitue la dégradation de l’environnement qui favorise selon lui, l’entrée du désert dans la partie sud du Sénégal.
« Lors de cette tournée, nous avons observé malheureusement quelques cas de déboisement frauduleux et nous avons sévi comme toujours », a-t-il soutenu avant de faire toutefois état de la mise en place de 300 comités actifs de lutte contre les feux de brousse et d’une vingtaine d’unités mobiles dotées de vannes à eau dans les régions. Car le Sénégal dit-il, perd chaque année une valeur de 27 milliards de francs Cfa en bois qui brûle avec les feux de brousses. « C’est dans ce sens que nous allons mettre en place 20 mille bourses vertes dans 400 villages où 50 jeunes seront pris dans chaque village pour être des auxiliaires de la forêt », a-t-il prévenu dans le journal « Le Quotidien ».
« Lors de cette tournée, nous avons observé malheureusement quelques cas de déboisement frauduleux et nous avons sévi comme toujours », a-t-il soutenu avant de faire toutefois état de la mise en place de 300 comités actifs de lutte contre les feux de brousse et d’une vingtaine d’unités mobiles dotées de vannes à eau dans les régions. Car le Sénégal dit-il, perd chaque année une valeur de 27 milliards de francs Cfa en bois qui brûle avec les feux de brousses. « C’est dans ce sens que nous allons mettre en place 20 mille bourses vertes dans 400 villages où 50 jeunes seront pris dans chaque village pour être des auxiliaires de la forêt », a-t-il prévenu dans le journal « Le Quotidien ».