Se prêtant aux questions des journalistes sitôt après l’inauguration du collège et de la maternité de Djirédji réalisés par le conseil rural de ladite localité grâce à la fondation « Nouvelle planète » et Performance Afrique appelée chaîne du bonheur, le ministre de la décentralisation et des collectivités locales n’a pas fait dans la dentelle. A la question du redécoupage administratif Aliou Sow déclare que « le redécoupage obéit aux aspirations adéquates des populations dument examinées avec tous les acteurs concernés avant d’entériner la décision. Les populations sont libres de demander ce qu’elles veulent ou pas mais dans le respect des principes et lois de ce pays. S’attaquer aux casernes ou aux forces de l’ordre n’est pas acceptable ».
Répondant aux interpellations des leaders de la conférence de l’opposition à ce sujet, Aliou Sow fait savoir que « quelle que soit l’ampleur de la clameur, je refuse de sombrer dans le discours politicien qui est très facile à manipuler. L’opposition ne peut pas penser comme Abdoulaye Wade et encore moins Aliou Sow, nous avons des paramètres d’appréciation et des back grounds différents et des motivations avec le peuple différentes. Ousmane Tanor Dieng s’est permis de s’attaquer aux administrateurs civils les accusant de préparer un hold up électoral, c’est inacceptable qu’il fasse de pareilles accusations, c’est une façon d’anticiper sur incitation à l’insurrection qu’ils n’auront jamais pour justifier une défaite irréfutable, cela me parait inacceptable ».
S’agissant des attaques proférées à l’endroit de sa femme, Aliou Sow répond en ces termes : « quiconque touche à un cheveu de ma femme passera sur mon cadavre si c’est de façon injuste. C’est une dame très juste et rigoureuse dans ce qu’elle fait. Elle a du mérite et rend bien service à son pays. Dans un lot d’une vingtaine de cas, on se plait à dramatiser la situation de mon épouse, mais ils ou elles me trouveront sur le chemin ».
Répondant aux interpellations des leaders de la conférence de l’opposition à ce sujet, Aliou Sow fait savoir que « quelle que soit l’ampleur de la clameur, je refuse de sombrer dans le discours politicien qui est très facile à manipuler. L’opposition ne peut pas penser comme Abdoulaye Wade et encore moins Aliou Sow, nous avons des paramètres d’appréciation et des back grounds différents et des motivations avec le peuple différentes. Ousmane Tanor Dieng s’est permis de s’attaquer aux administrateurs civils les accusant de préparer un hold up électoral, c’est inacceptable qu’il fasse de pareilles accusations, c’est une façon d’anticiper sur incitation à l’insurrection qu’ils n’auront jamais pour justifier une défaite irréfutable, cela me parait inacceptable ».
S’agissant des attaques proférées à l’endroit de sa femme, Aliou Sow répond en ces termes : « quiconque touche à un cheveu de ma femme passera sur mon cadavre si c’est de façon injuste. C’est une dame très juste et rigoureuse dans ce qu’elle fait. Elle a du mérite et rend bien service à son pays. Dans un lot d’une vingtaine de cas, on se plait à dramatiser la situation de mon épouse, mais ils ou elles me trouveront sur le chemin ».