Déphasé par rapport à la procédure menée dans l’enquête sur la fusillade à la mairie de Baobab, « l’Etat cultive l’impunité », dénonce Alioune Tine pour qui, « si la police et la justice avait joué leur vrai rôle en assurant la sécurité des personnes et de leurs biens, on en arriverait pas à cette situation».
Le coordonnateur du M23 qui fustige une « attaque programmée » et une « absence de la sécurité » pense que l’enquête est dirigée et que « nous avons une police politique » car « cette police tacle les gens de l’opposition, elle tacle les gens de la société civile, mais les milices qui sont des criminels font l’objet de respect », flingue-t-il à travers les ondes de la RFM, en faisant allusion à la minute de silence accordée au nervi tué, lors du congrès d’investiture d’Abdoulaye Wade.
Toutefois, pour éradiquer l’impunité, « on attend qu’on arrête les commanditaires et les principaux responsables », solutionne le président de la RADDHO.
Le coordonnateur du M23 qui fustige une « attaque programmée » et une « absence de la sécurité » pense que l’enquête est dirigée et que « nous avons une police politique » car « cette police tacle les gens de l’opposition, elle tacle les gens de la société civile, mais les milices qui sont des criminels font l’objet de respect », flingue-t-il à travers les ondes de la RFM, en faisant allusion à la minute de silence accordée au nervi tué, lors du congrès d’investiture d’Abdoulaye Wade.
Toutefois, pour éradiquer l’impunité, « on attend qu’on arrête les commanditaires et les principaux responsables », solutionne le président de la RADDHO.