Des photos de pièces d’identité, des factures, des données bancaires, des conversations privées mais aussi des documents plus politiques : la palette des informations dérobées lors de ce piratage informatique massif est impressionnante.
Journalistes et artistes aussi
De nombreux députés du Parlement européen, du Bundestag ou élus dans des Parlements régionaux sont concernés. Des recherches menées ces dernières heures ne semblaient pas indiquer que des documents politiques stratégiques aient été publiés. Des journalistes et des artistes figurent également dans la liste des victimes de ce piratage.
Réunion de crise
La structure gouvernementale chargée de lutter contre de telles attaques tenait une réunion de crise ce vendredi matin. Une porte-parole du gouvernement a déclaré en fin de matinée que Berlin prenait ces informations « très au sérieux » tout en soulignant qu’une première analyse excluait que des documents sensibles de la chancellerie ou concernant Angela Merkel aient été piratés.
Journalistes et artistes aussi
De nombreux députés du Parlement européen, du Bundestag ou élus dans des Parlements régionaux sont concernés. Des recherches menées ces dernières heures ne semblaient pas indiquer que des documents politiques stratégiques aient été publiés. Des journalistes et des artistes figurent également dans la liste des victimes de ce piratage.
Les informations ont été diffusées avant Noël sur un compte Twitter et il est curieux qu’il ait fallu attendre début janvier pour que le scandale soit révélé.
On ignore pour l’instant qui est responsable de ce piratage informatique important. La sélection des personnes concernées, les commentaires liés aux informations comme les illustrations choisies pourraient permettre de penser que les auteurs du piratage sont proches de l’extrême droite. Sur les réseaux sociaux en tout cas, ses supporters se sont félicités de ces publications. Réunion de crise
La structure gouvernementale chargée de lutter contre de telles attaques tenait une réunion de crise ce vendredi matin. Une porte-parole du gouvernement a déclaré en fin de matinée que Berlin prenait ces informations « très au sérieux » tout en soulignant qu’une première analyse excluait que des documents sensibles de la chancellerie ou concernant Angela Merkel aient été piratés.