Le parti démocratique sénégalais (PDS) a scellé une union avec l'Alliance pour la République (APR) en vue des élections législatives anticipées du 17 novembre. Les deux formations, toutes deux ayant dirigé aux destinées du Sénégal pendant 12 ans chacune, visent donc le même objectif : remporter la majorité parlementaire. Seulement, cette décision n'est pas du goût de tout le monde.
Du côté du PDS, la première voie discordante est celle de l'ancien député du PDS Ibrahima Diop. Ce dernier, dans une publication parvenue à PressAfik n'en démord pas contre ses anciens camarades. Il va jusqu'à rappeler les mésaventures entre le PDS et l'APR. Pour lui, il est hors de question de s'allier avec leur principal bourreau de ces dernières années. Et le parlementaire de continuer : "Le Parti Démocratique Sénégalais ne devrait pas avoir la mémoire courte pour oublier l’enfer que Macky Sall et son régime lui ont fait vivre après l’élection présidentielle de 2012. Les accusations de vol de tableaux au palais présidentiel contre le Président Abdoulaye Wade ce n’est pas Diomaye , c’est Macky Sall".
Dans la note, le parlementaire avertit des conséquences qui peuvent découler de cette décision. "Cette décision malheureuse, incompréhensible et politiquement inacceptable constituera une plaie incurable sur le front jadis reluisant de notre formation politique dont le père fondateur, le grand bâtisseur Maître Abdoulaye Wade avait mis tant de sacrifices pour sa survie", a souligné l'honorable député. L'ancien parlementaire du PDS a également invoqué les valeurs et principes qui doivent être le soubassement de la vie politique. "Pour moi, la politique c’est des VALEURS mais également et surtout des PRINCIPES. Elle doit être l’apanage d’hommes dignes dont le seul leitmotiv demeure l’intérêt général. Un homme politique doit avoir une ligne claire, constante, un parti politique également…" a-t-il confié.
Dans tous les cas, entre le PDS et l'APR c'est parti pour un grand idylle. Les deux formations d'obédience libérale se sont jurées fidélité en vue des législatives du 17 novembre.
Du côté du PDS, la première voie discordante est celle de l'ancien député du PDS Ibrahima Diop. Ce dernier, dans une publication parvenue à PressAfik n'en démord pas contre ses anciens camarades. Il va jusqu'à rappeler les mésaventures entre le PDS et l'APR. Pour lui, il est hors de question de s'allier avec leur principal bourreau de ces dernières années. Et le parlementaire de continuer : "Le Parti Démocratique Sénégalais ne devrait pas avoir la mémoire courte pour oublier l’enfer que Macky Sall et son régime lui ont fait vivre après l’élection présidentielle de 2012. Les accusations de vol de tableaux au palais présidentiel contre le Président Abdoulaye Wade ce n’est pas Diomaye , c’est Macky Sall".
Dans la note, le parlementaire avertit des conséquences qui peuvent découler de cette décision. "Cette décision malheureuse, incompréhensible et politiquement inacceptable constituera une plaie incurable sur le front jadis reluisant de notre formation politique dont le père fondateur, le grand bâtisseur Maître Abdoulaye Wade avait mis tant de sacrifices pour sa survie", a souligné l'honorable député. L'ancien parlementaire du PDS a également invoqué les valeurs et principes qui doivent être le soubassement de la vie politique. "Pour moi, la politique c’est des VALEURS mais également et surtout des PRINCIPES. Elle doit être l’apanage d’hommes dignes dont le seul leitmotiv demeure l’intérêt général. Un homme politique doit avoir une ligne claire, constante, un parti politique également…" a-t-il confié.
Dans tous les cas, entre le PDS et l'APR c'est parti pour un grand idylle. Les deux formations d'obédience libérale se sont jurées fidélité en vue des législatives du 17 novembre.
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