Le ralliement de Déthié Fall à Sonko, alors qu'il était déjà inscrit sur la liste de la coalition "Samm Sa Kaddu", a provoqué une vive indignation. Thierno Alassane Sall, particulièrement remonté, considère ce nouvel allié de Sonko comme un "Judas". Celui qui l'a accueilli n'a pas été épargné non plus.
"Ils avaient promis de mettre la morale au centre de tout. Ils se targuaient même de vouloir réglementer le port du voile chez les écolières. Ils prétendaient détester les manœuvres politiques, allant jusqu'à refuser toute coalition. Et à l'arrivée, ils recrutent les services d'un Judas", a-t-il écrit sur le réseau social X.
Il poursuit, s'adressant directement à Déthié Fall : "Comme Judas Ier, ce rejeton sénégalais n'est pas recruté pour le bien qu'il pourrait apporter à Pastef, mais pour le mal qu'il inflige à la coalition qui l'a investi, et, au-delà, à la morale et à la démocratie."
Il rappelle également que Pastef, qui avait légitimement dénoncé le scandale de ses listes détournées par son mandataire lors des élections locales de 2022 dans le département de Matam, recourt aujourd'hui à des pratiques similaires.
"Les masques sont tombés : après la rétention de la décision du Conseil constitutionnel relative à la dissolution de l’Assemblée nationale, après la ruse de Diomaye concernant la Déclaration de politique générale, il faut être partisan ou naïf pour ne pas voir que Pastef utilise ce même machiavélisme politique qui a conduit le pays dans l’impasse."
"Ils avaient promis de mettre la morale au centre de tout. Ils se targuaient même de vouloir réglementer le port du voile chez les écolières. Ils prétendaient détester les manœuvres politiques, allant jusqu'à refuser toute coalition. Et à l'arrivée, ils recrutent les services d'un Judas", a-t-il écrit sur le réseau social X.
Il poursuit, s'adressant directement à Déthié Fall : "Comme Judas Ier, ce rejeton sénégalais n'est pas recruté pour le bien qu'il pourrait apporter à Pastef, mais pour le mal qu'il inflige à la coalition qui l'a investi, et, au-delà, à la morale et à la démocratie."
Il rappelle également que Pastef, qui avait légitimement dénoncé le scandale de ses listes détournées par son mandataire lors des élections locales de 2022 dans le département de Matam, recourt aujourd'hui à des pratiques similaires.
"Les masques sont tombés : après la rétention de la décision du Conseil constitutionnel relative à la dissolution de l’Assemblée nationale, après la ruse de Diomaye concernant la Déclaration de politique générale, il faut être partisan ou naïf pour ne pas voir que Pastef utilise ce même machiavélisme politique qui a conduit le pays dans l’impasse."