Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique a réagi aux manifestations qui secouent Dakar depuis l'invalidation par le Conseil constitutionnel, des candidatures de Khalifa Ababacar Sall et de Karim Wade. Mardi, en marge du Crd sur la ziarra de la famille Omarienne, Aly Ngouille Ndiaye a minimisé ces «foyers de tensions», assurant ainsi que l’État y fera face.
«Ce n’est pas la première fois qu’on vit ça, surtout qu’on s’achemine vers la présidentielle. En 2000 et 2012, nous avons aussi connu pareilles situations au Sénégal. Les gens vont revenir à la raison et respecter les lois auxquelles tout le monde va se soumettre. L’opposition doit savoir que force restera à la loi», a-t-il prévenu le ministre dans les colonnes de l’Observateur.
Toutefois, le ministre Aly Ngouille Ndiaye a averti les militants de l'opposition qui pensent ces chamboulements vont empêcher la tenue de la Présidentielle du 24 février. «L’État ne toléra aucune violence et la présidentielle se tiendra à date échue. Il y aura bel et bien élection au Sénégal. Ce ne sont pas ces manifestations qui changeront le calendrier républicain», a-t-il balancé. Faisant ainsi allusion aux responsables libéraux et Khalifistes qui martèlent qu’il n’y aura pas d’élection sans leurs candidats.
«Ce n’est pas la première fois qu’on vit ça, surtout qu’on s’achemine vers la présidentielle. En 2000 et 2012, nous avons aussi connu pareilles situations au Sénégal. Les gens vont revenir à la raison et respecter les lois auxquelles tout le monde va se soumettre. L’opposition doit savoir que force restera à la loi», a-t-il prévenu le ministre dans les colonnes de l’Observateur.
Toutefois, le ministre Aly Ngouille Ndiaye a averti les militants de l'opposition qui pensent ces chamboulements vont empêcher la tenue de la Présidentielle du 24 février. «L’État ne toléra aucune violence et la présidentielle se tiendra à date échue. Il y aura bel et bien élection au Sénégal. Ce ne sont pas ces manifestations qui changeront le calendrier républicain», a-t-il balancé. Faisant ainsi allusion aux responsables libéraux et Khalifistes qui martèlent qu’il n’y aura pas d’élection sans leurs candidats.