Le Président d’honneur du parti pour l’indépendance et le travail, Amath Dansokho, appelé les Sénégalais à mettre fin à «cet état d’irresponsabilité ».
«Il faut continuer résolument le travail ; continuer la mobilisation pour qu’on montre la lame de fond qui traverse le pays pour mettre un terme à cet Etat d’irresponsabilité et de gaspillage incroyable», a lancé Amath Dansokho au cours de la marche avortée de l’opposition.
Il a avancé que le Président de la République doit éclairer la lanterne des Sénégalais sur l’argent dépensé au cours de ce FESMAN. «Il (Me Wade) dit qu’il ne connaît pas le budget du festival ; un jour il annonce 15 milliards, un autre jour, il parle de 42 milliards», a ironisé Amath Dansokho.
«Qu’il nous dise quels sont les chefs d’Etat qui ont contribué pour ce festival; ça ne doit pas être un secret; je ne doute pas pour certains (….). Mais, de toute manière cet argent a été donné au Sénégal», indique-t-il non sans s’adresser aux policiers qui avaient empêché la tenue de la marche des opposants.
«Les policiers, pensez à vos enfants ; pensez à vos enfants, pensez à ce pays ; vous êtes payés pour ce pays ; nous ne sommes en lutte contre les policiers (…)», a balancé l’ancien Secrétaire général du PIT.
«Il faut continuer résolument le travail ; continuer la mobilisation pour qu’on montre la lame de fond qui traverse le pays pour mettre un terme à cet Etat d’irresponsabilité et de gaspillage incroyable», a lancé Amath Dansokho au cours de la marche avortée de l’opposition.
Il a avancé que le Président de la République doit éclairer la lanterne des Sénégalais sur l’argent dépensé au cours de ce FESMAN. «Il (Me Wade) dit qu’il ne connaît pas le budget du festival ; un jour il annonce 15 milliards, un autre jour, il parle de 42 milliards», a ironisé Amath Dansokho.
«Qu’il nous dise quels sont les chefs d’Etat qui ont contribué pour ce festival; ça ne doit pas être un secret; je ne doute pas pour certains (….). Mais, de toute manière cet argent a été donné au Sénégal», indique-t-il non sans s’adresser aux policiers qui avaient empêché la tenue de la marche des opposants.
«Les policiers, pensez à vos enfants ; pensez à vos enfants, pensez à ce pays ; vous êtes payés pour ce pays ; nous ne sommes en lutte contre les policiers (…)», a balancé l’ancien Secrétaire général du PIT.
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