Et pourtant, la paix des braves avait été scellée à la permanence PDS Pikine, le 9 mai 2010. Partisans de Mme Lô et de Seck avait fumé le calumet de la paix. Quelques temps après, la dame Lô lors d’un meeting de ralliement avait traité Seck de tous les noms d’oiseaux. Juste après les opérations de renouvellement de l’Ujtl. «La paix scellée entre libéraux n’était que de façade. Mamadou Seck nous a trahi et ne croit pas en cette paix. Nous ne lui laisserons pas le champs libre» avait-elle déclaré. Quelques temps après, des partisans d’Aminata Lô qui tenaient une cérémonie dans le fief du président de l’Assemblée nationale. Une bataille rangée qui avait fait 4 blessés graves qui furent évacués à Rufisque. Coupe-coupe et bâtons avaient volé en l’air. Les partisans de Seck avaient, en effet, interdit à Aminata Lô de fouler le seuil de la commune de Mbao. Cependant, les partisans de Mamadou Seck non plus n’avaient pu tenir de meeting.
Le même jour, la dame Soukeye Diop avait déclaré que «je suis désolé. Je ne comprends plus le Pds. Il est temps que le secrétaire général national agisse au plus vite ». Ainsi, suite à la nomination d’Aminata Lô au poste de ministre de la Solidarité nationale et de l’action sociale, des responsables comme Daour Niang et le sénateur Amadou Diarra avaient gelé leurs activités au sein dudit parti.
Pour preuve, ces derniers ne participaient plus à des manifestations du PDS en banlieue. Tout récemment, ils ont manqué au meeting organisé par le DG de la SOPROSEN, Cheikh Dieng, dans le cadre de la vulgarisation du slogan «ma carte ma caution». Mais la lecture qui fut faite reste la déclaration d’Aïda Mbodj qui s’était exprimée en ces termes «Mamadou Seck, vous n’avait rien à craindre car vous avez des femmes avec vous. Et les personnes qui vont voir le président pour lui montrer qu’elles contrôlent la banlieue ont tord». Une manière d’égratigner Aminata Lô. La guerre avait été ouverte. Et Aîda Mbodj avait été la personne devant déclencher les hostilités et donner du toupet à Mamadou Seck, son ex’«ami parlementaire», qui était la cible d’attaques répétées.
Deux personnes qui se regardent en chiens de faïence. Pour d’aucuns, Aminata Lô risque d’y laisser des plumes.
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)
Le même jour, la dame Soukeye Diop avait déclaré que «je suis désolé. Je ne comprends plus le Pds. Il est temps que le secrétaire général national agisse au plus vite ». Ainsi, suite à la nomination d’Aminata Lô au poste de ministre de la Solidarité nationale et de l’action sociale, des responsables comme Daour Niang et le sénateur Amadou Diarra avaient gelé leurs activités au sein dudit parti.
Pour preuve, ces derniers ne participaient plus à des manifestations du PDS en banlieue. Tout récemment, ils ont manqué au meeting organisé par le DG de la SOPROSEN, Cheikh Dieng, dans le cadre de la vulgarisation du slogan «ma carte ma caution». Mais la lecture qui fut faite reste la déclaration d’Aïda Mbodj qui s’était exprimée en ces termes «Mamadou Seck, vous n’avait rien à craindre car vous avez des femmes avec vous. Et les personnes qui vont voir le président pour lui montrer qu’elles contrôlent la banlieue ont tord». Une manière d’égratigner Aminata Lô. La guerre avait été ouverte. Et Aîda Mbodj avait été la personne devant déclencher les hostilités et donner du toupet à Mamadou Seck, son ex’«ami parlementaire», qui était la cible d’attaques répétées.
Deux personnes qui se regardent en chiens de faïence. Pour d’aucuns, Aminata Lô risque d’y laisser des plumes.
Abdoul K. Diop (Correspondant dans la banlieue)