«Assimiler le droit de grâce à un arrangement politicien, c’est ne point comprendre les changements profonds aux allures de révolution silencieuse qui ont été opéré depuis 2012, en matière de meilleur gouvernance ». Ces propos sont de l’envoyée spéciale du chef de l’Etat qui se prononçait sur une possible libération de Karim Wade, épinglé par la Cour de répression de l’enrichissement illicite.
Poursuivant, celle qu’on déclare être la principale instigatrice de la traque explique que cette posture de la Crei entre dans la ligne adoptée par les autorités sénégalaises qui est «de lutter contre les délinquants à col blanc ». Et d’ajouter : «la justice sénégalaise a été saisie de cas d’enrichissement illicite notoire, parmi lesquels celui de Karim Wade».
La Justice ayant fait son devoir, l’ancien chef du Gouvernement explique que : «la justice reste humaine et humaniste et c’est pourquoi le législateur accorde le droit de grâce dans des conditions bien définies par la loi au premier des citoyens, le chef de l’Etat qui, seul, apprécie et juge de son opportunité».
Poursuivant, celle qu’on déclare être la principale instigatrice de la traque explique que cette posture de la Crei entre dans la ligne adoptée par les autorités sénégalaises qui est «de lutter contre les délinquants à col blanc ». Et d’ajouter : «la justice sénégalaise a été saisie de cas d’enrichissement illicite notoire, parmi lesquels celui de Karim Wade».
La Justice ayant fait son devoir, l’ancien chef du Gouvernement explique que : «la justice reste humaine et humaniste et c’est pourquoi le législateur accorde le droit de grâce dans des conditions bien définies par la loi au premier des citoyens, le chef de l’Etat qui, seul, apprécie et juge de son opportunité».