Selon un communiqué reçu par Pressafrik.com, cette violence a fait au moins un mort et plusieurs blessés parmi les manifestants, écrasés par un camion de la police qui a foncé de « façon délibérée sur la foule et par un usage injustifié de balles réelles ».
« Compte tenu de la gravité des faits et des témoignages recueillis, nos organisations exigent la mise en place sans délai d’une commission d’enquête indépendante et impartiale afin que toute la lumière soit faite sur de tels agissements ayant abouti à la mort de l’étudiant Mamadou DIOP », précise le texte.
Amnesty International Sénégal, la LSDH et la RADDHO « condamnent en outre les obstructions et les jets de grenades lacrymogènes contre les véhicules médicalisés de la part des forces de l’ordre en violation flagrante de toutes les normes en vigueur en matière de secours et d’assistance ». « De tels faits relèvent de crimes contre l’humanité », indique le communiqué.
« Nos organisations tiennent pour responsables l’autorité politique garante de la sécurité des citoyens ainsi que la hiérarchie des présumés auteurs de cette violence qui ne peut en aucun cas être qualifiée de bavure. Nous mettrons tout en œuvre pour que les auteurs de ces crimes et ceux qui leur ont donné l’ordre rendent des comptes devant les juridictions nationales et internationales », souligne le texte.
« Compte tenu de la gravité des faits et des témoignages recueillis, nos organisations exigent la mise en place sans délai d’une commission d’enquête indépendante et impartiale afin que toute la lumière soit faite sur de tels agissements ayant abouti à la mort de l’étudiant Mamadou DIOP », précise le texte.
Amnesty International Sénégal, la LSDH et la RADDHO « condamnent en outre les obstructions et les jets de grenades lacrymogènes contre les véhicules médicalisés de la part des forces de l’ordre en violation flagrante de toutes les normes en vigueur en matière de secours et d’assistance ». « De tels faits relèvent de crimes contre l’humanité », indique le communiqué.
« Nos organisations tiennent pour responsables l’autorité politique garante de la sécurité des citoyens ainsi que la hiérarchie des présumés auteurs de cette violence qui ne peut en aucun cas être qualifiée de bavure. Nous mettrons tout en œuvre pour que les auteurs de ces crimes et ceux qui leur ont donné l’ordre rendent des comptes devant les juridictions nationales et internationales », souligne le texte.