La ville de Yaoundé, au Cameroun.
La liberté d’expression, d’association et de réunion a été réprimée ou entravée, révèle le rapport de l’ONG britannique qui a déploré en 2014 une catastrophe au niveau des droits de l’homme dans le monde.
Le rapport d’Amnesty international est rendu public au lendemain de l’abandon des charges des autorités policières contre trois journalistes camerounais.
En octobre 2014, deux journalistes pour les quotidiens Mutations et Le Messager, ont comparu devant le tribunal militaire de Yaoundé. A l’issue de leur audience ont été inculpés de «non dénonciation » de faits susceptibles d’atteindre à la sureté de l’Etat. Les autorités militaires ont abandonné les charges quelques mois plus tard.
En 2014, des rassemblements sur la voie publique ou des rencontres de certains activistes camerounais ont également été interdits par les autorités administratives pour «troubles à l’ordre public».
Le rapport d’Amnesty international est rendu public au lendemain de l’abandon des charges des autorités policières contre trois journalistes camerounais.
En octobre 2014, deux journalistes pour les quotidiens Mutations et Le Messager, ont comparu devant le tribunal militaire de Yaoundé. A l’issue de leur audience ont été inculpés de «non dénonciation » de faits susceptibles d’atteindre à la sureté de l’Etat. Les autorités militaires ont abandonné les charges quelques mois plus tard.
En 2014, des rassemblements sur la voie publique ou des rencontres de certains activistes camerounais ont également été interdits par les autorités administratives pour «troubles à l’ordre public».