« J’ai pris la décision de quitter la vie politique en 2018 », a déclaré le chef de l’État de 73 ans devant le comité central de son parti, le MPLA. Son mandat actuel se termine en 2017, mais M. dos Santos n’a pas précisé pourquoi il comptait quitter la vie politique l’année suivante. Il est le second plus ancien chef d’État au pouvoir en Afrique, devancé seulement par le dirigeant de Guinée équatoriale Teodoro Obiang Nguema, arrivé au pouvoir un mois avant lui en 1979.
Le comité central était réuni pour préparer le prochain congrès du parti, qui doit désigner un candidat pour la présidentielle de 2017.
Quelle succession ?
En juin dernier, le président avait indirectement abordé la question de sa succession, en déclarant notamment : « Il nous faut étudier très attentivement la façon de construire la transition, en appelant le MPLA à réfléchir à la nomination d’un candidat. » La Constitution angolaise ne prévoit pas d’élection présidentielle au suffrage universel, mais stipule que le président du parti vainqueur des législatives devient automatiquement chef de l’État.
Le comité central était réuni pour préparer le prochain congrès du parti, qui doit désigner un candidat pour la présidentielle de 2017.
Quelle succession ?
En juin dernier, le président avait indirectement abordé la question de sa succession, en déclarant notamment : « Il nous faut étudier très attentivement la façon de construire la transition, en appelant le MPLA à réfléchir à la nomination d’un candidat. » La Constitution angolaise ne prévoit pas d’élection présidentielle au suffrage universel, mais stipule que le président du parti vainqueur des législatives devient automatiquement chef de l’État.
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