L’ancienne directrice de la police n’a pas mis du temps pour réagir à son limogeage. Il ressort des confessions faites à ses plus proches collaborateurs, qu'elle met son éviction de la tête de la police sur le fait que beaucoup de hauts gradés n’aient pas aimé que les indemnités soient revues à la baisse aux profits des agents ou auxiliaires de police. Et du fait aussi qu’elle ait eu à démocratiser les missions à l’étranger en mettant de l’ordre dans le processus de désignation des policiers.
Sur ce sujet, elle a tenu à rappeler que maintenant, un policier ne peu pas partir plus d’une fois en deux ans. «Ce que je retiens de mon passage à la tête de la police, c’est l’engagement indéfectible de la plupart des grands collaborateurs, des directeurs qui y ont cru jusqu’au bout et qui m’ont accompagnée de jour comme de nuit. Mais, tout particulièrement, la troupe qui m’a surnommée, je ne sais pas pourquoi, « Badiène (tante) ». Je pense que c’était très affectif », a dit Anna Sémou Faye à ses amis qui lui ont rendu visite pour s’enquérir de sa nouvelle situation.
L’ex-patronne de la police n’a pas manqué de demander pardon à ses plus proches collaborateurs, comme le veut la tradition sénégalaise, sert "Enquête".
Sur ce sujet, elle a tenu à rappeler que maintenant, un policier ne peu pas partir plus d’une fois en deux ans. «Ce que je retiens de mon passage à la tête de la police, c’est l’engagement indéfectible de la plupart des grands collaborateurs, des directeurs qui y ont cru jusqu’au bout et qui m’ont accompagnée de jour comme de nuit. Mais, tout particulièrement, la troupe qui m’a surnommée, je ne sais pas pourquoi, « Badiène (tante) ». Je pense que c’était très affectif », a dit Anna Sémou Faye à ses amis qui lui ont rendu visite pour s’enquérir de sa nouvelle situation.
L’ex-patronne de la police n’a pas manqué de demander pardon à ses plus proches collaborateurs, comme le veut la tradition sénégalaise, sert "Enquête".