Le calvaire de cette femme au visage crispé, l’air abattu, cœur brisé et mère de cinq (5) enfants a commencé juste après la mort de son mari. Et depuis lors, elle a l’impression que c’est le mauvais sort qui s’abat sur elle. Pas de toit pour ses cinq (5) bout de bois de Dieu encore moins de ressources financières pour les nourrir. Et comble de désespoir, elle n’a personne pour lui venir en aide.
Le récit de son calvaire est entrecoupé de pleurs, des larmes coulent sur ce visage triste. La voix empreinte de douleurs, cette mère de cinq (5) enfants étale toute sa détresse. "Après le décès de mon mari, je suis retournée dans ma maison familiale à Tambacounda où vivent mes tantes qui m’ont élevée suite au décès de ma mère. Mais mon retour à la maison était mal vu par mes tantes qui me battaient jour et nuit", raconte M. Diallo qui, "était obligée de quitter la maison familiale et revenir à Dakar avec ses cinq (5) enfants, sans abri ni argent pour subvenir à leurs besoins".
"Comme le veut une certaine coutume, je me suis mariée au frère de mon défunt époux avec qui j’ai eu deux enfants...Et mon désarroi n’a pas fait qu’augmenter car on passait tout le temps à se quereller et au final, il nous a abandonné mes enfants et moi", poursuit-elle.
"Et si aujourd’hui, je suis venue vous voir, c’est pour obtenir de l’aide car depuis lors je vis dans une maison qu’on m’a prêté dans le populeux quartier de Arafat à Grand Yoff. Mais là, son propriétaire m’a sommé quitter les lieux sous peine d’aller à la police. Et, si un tel scénario arrive je serais obligée de dormir à la belle étoile avec mes petits", indique M. Diallo.
Et, pour ne pas se trouver dans cette situation la dame M.D appelle au secours: « Je lance un appel à toutes les bonnes volontés de me venir en aide à mes enfants et moi car nous vivons dans des situations très difficiles».
Le récit de son calvaire est entrecoupé de pleurs, des larmes coulent sur ce visage triste. La voix empreinte de douleurs, cette mère de cinq (5) enfants étale toute sa détresse. "Après le décès de mon mari, je suis retournée dans ma maison familiale à Tambacounda où vivent mes tantes qui m’ont élevée suite au décès de ma mère. Mais mon retour à la maison était mal vu par mes tantes qui me battaient jour et nuit", raconte M. Diallo qui, "était obligée de quitter la maison familiale et revenir à Dakar avec ses cinq (5) enfants, sans abri ni argent pour subvenir à leurs besoins".
"Comme le veut une certaine coutume, je me suis mariée au frère de mon défunt époux avec qui j’ai eu deux enfants...Et mon désarroi n’a pas fait qu’augmenter car on passait tout le temps à se quereller et au final, il nous a abandonné mes enfants et moi", poursuit-elle.
"Et si aujourd’hui, je suis venue vous voir, c’est pour obtenir de l’aide car depuis lors je vis dans une maison qu’on m’a prêté dans le populeux quartier de Arafat à Grand Yoff. Mais là, son propriétaire m’a sommé quitter les lieux sous peine d’aller à la police. Et, si un tel scénario arrive je serais obligée de dormir à la belle étoile avec mes petits", indique M. Diallo.
Et, pour ne pas se trouver dans cette situation la dame M.D appelle au secours: « Je lance un appel à toutes les bonnes volontés de me venir en aide à mes enfants et moi car nous vivons dans des situations très difficiles».