C’est officiel, les mordus d’iPhone n’ont plus qu’une semaine à attendre. C'est le 4 octobre qu'Apple doit publiquement “parler de l’iPhone”, comme l'indique sobrement un communiqué de la firme à la pomme. Un événement doublement attendu puisqu'il sera l'occasion de dévoiler le successeur du smartphone star d’Apple ainsi que les talents d'animateur de Tim Cook, parachuté à la tête du groupe depuis le départ définitif de l'emblématique Steve Jobs le 25 août.
Alors que la date fatidique approche, le landernau technologique se demande surtout s’il sera question, lors du levée de rideau, d’iPhone ou... d’iPhones. Apple pourrait en effet présenter deux téléphones. Une version légèrement retouchée de l’actuelle iPhone 4, qui serait vendue moins cher, et son successeur, équipé des dernières innovations "made in Apple". Une rumeur née d'une bourde de l’ancien vice-président des États-Unis Al Gore. Lors d’une conférence en Afrique du Sud, le 21 septembre, l'ancien numéro deux américain, qui siège depuis 2003 au conseil d’administration d’Apple, avait lâché qu’il y aurait “des iPhones présentés en octobre”.
Toujours plus
“L’iPhone 4 est toujours l’un des smartphones les plus vendus au monde et Apple pourrait probablement en vendre encore des millions s’il décidait de baisser sensiblement le prix”, explique GigaOM, site spécialisé dans les nouvelles technologies qui croit dur comme fer à cette hypothèse. Une telle annonce se justifierait également au regard du nombre croissant des smartphones bon marché fonctionnant sous Android, le système d’exploitation de Google. Apple n’aurait aucune envie de laisser son principal concurrent s’accaparer toute un partie du marché des téléphones portables sans livrer bataille.
Pour le reste, le géant de Cupertino (Californie) devrait être fidèle à sa tradition du “toujours plus”. L’iPhone 5 s’amincirait encore un peu plus pour conserver le titre de smartphone le plus fin au monde. Un régime qui s’accompagnerait d'un écran plus large et d'un appareil photo plus performant. Le nouveau modèle serait aussi plus puissant et rapide grâce à un nouveau moteur sous le capot.
Rien de révolutionnaire à l’horizon donc, si ce n’est que le nouveau PDG d’Apple, Tim Cook, tiendra à cette occasion le haut du pavé. Une première durant laquelle il devra faire la preuve qu’il peut susciter, sur scène, le même emballement médiatique que Steve Jobs.
Source: AFP
Alors que la date fatidique approche, le landernau technologique se demande surtout s’il sera question, lors du levée de rideau, d’iPhone ou... d’iPhones. Apple pourrait en effet présenter deux téléphones. Une version légèrement retouchée de l’actuelle iPhone 4, qui serait vendue moins cher, et son successeur, équipé des dernières innovations "made in Apple". Une rumeur née d'une bourde de l’ancien vice-président des États-Unis Al Gore. Lors d’une conférence en Afrique du Sud, le 21 septembre, l'ancien numéro deux américain, qui siège depuis 2003 au conseil d’administration d’Apple, avait lâché qu’il y aurait “des iPhones présentés en octobre”.
Toujours plus
“L’iPhone 4 est toujours l’un des smartphones les plus vendus au monde et Apple pourrait probablement en vendre encore des millions s’il décidait de baisser sensiblement le prix”, explique GigaOM, site spécialisé dans les nouvelles technologies qui croit dur comme fer à cette hypothèse. Une telle annonce se justifierait également au regard du nombre croissant des smartphones bon marché fonctionnant sous Android, le système d’exploitation de Google. Apple n’aurait aucune envie de laisser son principal concurrent s’accaparer toute un partie du marché des téléphones portables sans livrer bataille.
Pour le reste, le géant de Cupertino (Californie) devrait être fidèle à sa tradition du “toujours plus”. L’iPhone 5 s’amincirait encore un peu plus pour conserver le titre de smartphone le plus fin au monde. Un régime qui s’accompagnerait d'un écran plus large et d'un appareil photo plus performant. Le nouveau modèle serait aussi plus puissant et rapide grâce à un nouveau moteur sous le capot.
Rien de révolutionnaire à l’horizon donc, si ce n’est que le nouveau PDG d’Apple, Tim Cook, tiendra à cette occasion le haut du pavé. Une première durant laquelle il devra faire la preuve qu’il peut susciter, sur scène, le même emballement médiatique que Steve Jobs.
Source: AFP