Le ministre du Commerce, de la Consommation et des Petites et Moyennes Entreprises (PME), Abdou Karim Fofana, a annoncé la réception de plus de 14 000 tonnes d'oignon entre le 11 et le 27 août, afin d'apaiser les inquiétudes constatées sur le marché au cours des dernières semaines.
Dans plusieurs régions du Sénégal, le prix du kilogramme d'oignon s’échange entre 1200 et 1500 francs CFA, soit trois fois son prix habituel. D’après Le Quotidien, Abdou Karim Fofana a expliqué que cette situation est cyclique et fait l'objet de mesures correctives.
« Il y a eu un impact significatif des changements climatiques sur les récoltes. En Inde, par exemple, les inondations ont considérablement réduit les productions, entraînant la suspension des exportations. Dans le cas de l'oignon, nous observons une situation similaire, avec des décalages dans les rendements. Cela se produit également au Maroc et aux Pays-Bas, où les productions sont généralement disponibles dès le mois d'août », a-t-il expliqué.
M. Fofana ajoute que la production d'oignon au Sénégal est passée de 200 000 tonnes à 400 000 tonnes cette année.
« Cette production pourrait largement satisfaire la demande du Sénégal, mais le manque d'infrastructures de stockage a conduit à des pertes de récoltes. C'est pourquoi nous avons autorisé l'exportation de l'oignon local vers les pays voisins du Sénégal afin de limiter les pertes », a-t-il déclaré.
Néanmoins, il a assuré que des solutions durables pour le stockage des produits sont en cours, notamment avec le Marché d'Intérêt National et le site de stockage de Diaobé, qui a été financé à hauteur de deux milliards de francs CFA et qui sera inauguré prochainement, après celui de Diamniadio.
Dans plusieurs régions du Sénégal, le prix du kilogramme d'oignon s’échange entre 1200 et 1500 francs CFA, soit trois fois son prix habituel. D’après Le Quotidien, Abdou Karim Fofana a expliqué que cette situation est cyclique et fait l'objet de mesures correctives.
« Il y a eu un impact significatif des changements climatiques sur les récoltes. En Inde, par exemple, les inondations ont considérablement réduit les productions, entraînant la suspension des exportations. Dans le cas de l'oignon, nous observons une situation similaire, avec des décalages dans les rendements. Cela se produit également au Maroc et aux Pays-Bas, où les productions sont généralement disponibles dès le mois d'août », a-t-il expliqué.
M. Fofana ajoute que la production d'oignon au Sénégal est passée de 200 000 tonnes à 400 000 tonnes cette année.
« Cette production pourrait largement satisfaire la demande du Sénégal, mais le manque d'infrastructures de stockage a conduit à des pertes de récoltes. C'est pourquoi nous avons autorisé l'exportation de l'oignon local vers les pays voisins du Sénégal afin de limiter les pertes », a-t-il déclaré.
Néanmoins, il a assuré que des solutions durables pour le stockage des produits sont en cours, notamment avec le Marché d'Intérêt National et le site de stockage de Diaobé, qui a été financé à hauteur de deux milliards de francs CFA et qui sera inauguré prochainement, après celui de Diamniadio.