C'est devant le ministre sénégalais de l'Intégration, du Népad et de la Francophonie Mbaye Ndiaye, de son homologue Mbagnick Ndiaye et de plusieurs autres autorités sénégalaises que le ministre gambien de la Culture et du Tourisme a sermonné la classe politique sénégalaise. Mais Hamath Bah n'a pas seulement attaqué les politiciens sénégalais. Les forces douanières en ont également pris pour leur grade.
"L'intégration dont on parle n'est pas possible avec autant de tracasseries douanières. Pour passer les frontières, même sans bagages, vous payez de l'argent. La douane sénégalaise est horrible. Pour passer les frontières entre le Sénégal et la Guinée Bissau, il faut casquer cher. Au temps de Jammeh, il y avait plus de 200 postes de contrôle entre Banjul et Basseh, mais on a tout supprimé. La Gambie est sur les rails. Si vous faites 100, on fait 1 000. Il faut arrêter les discours et intégrer les peuples", dénonce le lieutenant du Président Adama Barrow à Karang dans le département de Foundioune lors de la journée internationale de la libre circulation entre les deux pays.
"L'intégration dont on parle n'est pas possible avec autant de tracasseries douanières. Pour passer les frontières, même sans bagages, vous payez de l'argent. La douane sénégalaise est horrible. Pour passer les frontières entre le Sénégal et la Guinée Bissau, il faut casquer cher. Au temps de Jammeh, il y avait plus de 200 postes de contrôle entre Banjul et Basseh, mais on a tout supprimé. La Gambie est sur les rails. Si vous faites 100, on fait 1 000. Il faut arrêter les discours et intégrer les peuples", dénonce le lieutenant du Président Adama Barrow à Karang dans le département de Foundioune lors de la journée internationale de la libre circulation entre les deux pays.