Barthélémy Dias prend date avec la presse cet après-midi dans un hôtel de la place. Que va aborder le maire déchu ? Sur l’affiche annonçant l'événement, aucune précision n’est donnée. Il est important de noter que cette prise de parole intervient dans un contexte particulier : Barthélémy Dias a récemment été débouté par la Cour d’appel. En effet, cette dernière a rejeté le recours qu'il avait formulé concernant sa révocation, a indiqué Me Pouye, l’un de ses avocats. La cour a ainsi validé la décision de révocation prise par le Préfet du département de Dakar.
A cela s'ajoute la condamnation des gardes du corps impliqués dans l'affaire « Samm Sa Kaddu ». Le Tribunal de Grande Instance de Saint-Louis a rendu son verdict ce lundi 6 janvier. Au terme du procès, 55 personnes ont été libérées, tandis que 3 accusés ont été condamnés à trois ans de prison ferme, et 19 autres à trois mois de prison ferme. En outre, 8 détenus ont été condamnés à six mois de prison avec sursis, 35 à trois mois avec sursis, et 4 à deux ans de prison, dont six mois ferme. Par ailleurs, 19 accusés ont écopé de trois mois de prison ferme.
Concernant Bassirou Diop, décédé en détention, le tribunal a prononcé l’extinction de l’action publique à son égard.
Pour rappel, les prévenus avaient été arrêtés après des heurts survenus dans la Vieille ville lors de la campagne des législatives anticipées du 17 novembre 2024. Les 80 accusés sont poursuivis pour des chefs d'accusation graves, notamment « coups et blessures volontaires, exercice illégal de la profession de police privée, vol avec violence, détention illégale d'armes », ainsi que pour « complicité et violation de l'arrêté ministériel du 22 octobre qui réglemente l'usage des armes ».
A cela s'ajoute la condamnation des gardes du corps impliqués dans l'affaire « Samm Sa Kaddu ». Le Tribunal de Grande Instance de Saint-Louis a rendu son verdict ce lundi 6 janvier. Au terme du procès, 55 personnes ont été libérées, tandis que 3 accusés ont été condamnés à trois ans de prison ferme, et 19 autres à trois mois de prison ferme. En outre, 8 détenus ont été condamnés à six mois de prison avec sursis, 35 à trois mois avec sursis, et 4 à deux ans de prison, dont six mois ferme. Par ailleurs, 19 accusés ont écopé de trois mois de prison ferme.
Concernant Bassirou Diop, décédé en détention, le tribunal a prononcé l’extinction de l’action publique à son égard.
Pour rappel, les prévenus avaient été arrêtés après des heurts survenus dans la Vieille ville lors de la campagne des législatives anticipées du 17 novembre 2024. Les 80 accusés sont poursuivis pour des chefs d'accusation graves, notamment « coups et blessures volontaires, exercice illégal de la profession de police privée, vol avec violence, détention illégale d'armes », ainsi que pour « complicité et violation de l'arrêté ministériel du 22 octobre qui réglemente l'usage des armes ».
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