Des nuages planent sur le secteur de la justice. Et pour cause, les membres du Syndicat des travailleurs de la justice (Sytjust), ont informé, dans un communiqué parvenu à PressAfrik, de leur décision d’aller en grève pour exiger de l’Etat l’adoption des projets de décrets relatifs au fonctionnement dudit secteur.
«Le service public de la Justice sera incessamment paralysé par d’imminentes grèves qui seront décrétées par le Syndicat des Travailleurs de la Justice (Sytjust), qui exige du gouvernement l’adoption du projet de décret modifiant le décret n° 2010-707 du 10 juin 2010 portant organisation et fixant les règles de fonctionnement du Centre de Formation judiciaire (CFJ), du projet de décret modifiant le décret n° 2011-509 du 12 avril 2011 portant statut particulier des fonctionnaires de la Justice, du projet de décret fixant le mode de répartition des sommes versées au titre des droits de délivrance des actes en matière civile, commerciale, criminelle, correctionnelle, de simple police, des sommes retenues sur paiements effectués dans le cadre des saisies-rémunération et d’apposition de la formule exécutoire sur les ordonnances de contrainte en matière sociale…», entre autres revendications.
Selon eux, ces projets de décrets ont été élaborés après des discussions entre syndicat et les ministères concernés. D’où leur ras-le-bol de constater l’inertie dont font preuve les autorités.
Les syndicalistes soutiennent qu'ils ont déjà donné assez de temps au gouvernement pour matérialiser ces accords et que désormais, c’est le temps de l’action. «Par conséquent, les Travailleurs de la justice sonnent la mobilisation, après le dépôt du préavis de grève en date du 24 octobre 2017 sur la table de Madame le Ministre de la fonction publique, de la rationalisation effectifs et du renouveau du service public », relève le document.
«Le service public de la Justice sera incessamment paralysé par d’imminentes grèves qui seront décrétées par le Syndicat des Travailleurs de la Justice (Sytjust), qui exige du gouvernement l’adoption du projet de décret modifiant le décret n° 2010-707 du 10 juin 2010 portant organisation et fixant les règles de fonctionnement du Centre de Formation judiciaire (CFJ), du projet de décret modifiant le décret n° 2011-509 du 12 avril 2011 portant statut particulier des fonctionnaires de la Justice, du projet de décret fixant le mode de répartition des sommes versées au titre des droits de délivrance des actes en matière civile, commerciale, criminelle, correctionnelle, de simple police, des sommes retenues sur paiements effectués dans le cadre des saisies-rémunération et d’apposition de la formule exécutoire sur les ordonnances de contrainte en matière sociale…», entre autres revendications.
Selon eux, ces projets de décrets ont été élaborés après des discussions entre syndicat et les ministères concernés. D’où leur ras-le-bol de constater l’inertie dont font preuve les autorités.
Les syndicalistes soutiennent qu'ils ont déjà donné assez de temps au gouvernement pour matérialiser ces accords et que désormais, c’est le temps de l’action. «Par conséquent, les Travailleurs de la justice sonnent la mobilisation, après le dépôt du préavis de grève en date du 24 octobre 2017 sur la table de Madame le Ministre de la fonction publique, de la rationalisation effectifs et du renouveau du service public », relève le document.