« Nous sommes prêts à mourir. Vraiment s’ils ne sont pas prêts pour régler nos problèmes, nous aussi nous sommes prêts à mourir. C’est pourquoi on a décidé d’entamer une grève de la faim et on compte aller jusqu’au bout », a émis sur les ondes de la RFM, leur porte-parole, Bathie Ndiaye.
Ne disposant pas d’université d’accueil au niveau national, les nouveaux bacheliers non-voyants qui peinent à trouver un point de chute à l’extérieur pour poursuivre leurs études semblent plus qu’indignés. « On a assez d’ennuis successifs ici et on n’a pas vu une grande réaction émanant des autorités. C’est pourquoi nous pensons que les autorités ne nous prennent pas au sérieux parce que nous avons débuté la lutte depuis le mois de septembre et jusqu’à présent ils n’ont pas pris leur disposition pour satisfaire leur revendication », fulmine un des leurs du nom d’Assane Lèye.
Ne disposant pas d’université d’accueil au niveau national, les nouveaux bacheliers non-voyants qui peinent à trouver un point de chute à l’extérieur pour poursuivre leurs études semblent plus qu’indignés. « On a assez d’ennuis successifs ici et on n’a pas vu une grande réaction émanant des autorités. C’est pourquoi nous pensons que les autorités ne nous prennent pas au sérieux parce que nous avons débuté la lutte depuis le mois de septembre et jusqu’à présent ils n’ont pas pris leur disposition pour satisfaire leur revendication », fulmine un des leurs du nom d’Assane Lèye.