Sa première journée aura été consacrée à rencontrer ses nouveaux collaborateurs. Christine Lagarde, nouvelle directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), a enchaîné les réunions, mardi 5 juillet, avec ses adjoints, le conseil d'administration, les directeurs de département, puis avec l'ensemble du personnel convié à une rencontre ouverte à tous.
"Régler la crise de la zone euro"
Mercredi, l'ex-ministre des Finances française doit s'exprimer devant la presse pour la première fois en tant que patronne du FMI. L'occasion d'exposer publiquement la façon dont elle entend diriger l’institution. Et les sujets à aborder ne manquent pas. Dans sa dernière édition, le journal interne de l'organisation financière affirme qu'un « programme de travail chargé attend la nouvelle directrice générale », et promet à Christine Lagarde « des décisions stratégiques difficiles pour promouvoir la reprise mondiale et régler la crise de la zone euro ».
Mais le dossier numéro un, ce sera bien entendu la crise financière en Grèce. Le conseil d'administration du FMI doit se réunir à court terme pour débloquer la cinquième tranche de son prêt de 30 milliards d'euros à Athènes. Une tranche de 3 milliards 300 millions d'euros, selon le programme des versements établi en mai 2010.
"Régler la crise de la zone euro"
Mercredi, l'ex-ministre des Finances française doit s'exprimer devant la presse pour la première fois en tant que patronne du FMI. L'occasion d'exposer publiquement la façon dont elle entend diriger l’institution. Et les sujets à aborder ne manquent pas. Dans sa dernière édition, le journal interne de l'organisation financière affirme qu'un « programme de travail chargé attend la nouvelle directrice générale », et promet à Christine Lagarde « des décisions stratégiques difficiles pour promouvoir la reprise mondiale et régler la crise de la zone euro ».
Mais le dossier numéro un, ce sera bien entendu la crise financière en Grèce. Le conseil d'administration du FMI doit se réunir à court terme pour débloquer la cinquième tranche de son prêt de 30 milliards d'euros à Athènes. Une tranche de 3 milliards 300 millions d'euros, selon le programme des versements établi en mai 2010.