Six mois après son installation officielle à la tête des armées, le général de corps d’armée Cheikh Wade vient de déployer ses hommes à la tête des grands commandements et services. Des nominations d’hommes qu’il faut aux commandements qu’il faut pour mieux exécuter sa feuille de route.
Autrement dit, il a procédé à un excellent casting pour rendre plus performante la Grande muette. L’exemple le plus emblématique de ces nouveaux promus, c’est l’ancien commandant de la zone militaire (comzone) N° 5, le colonel Souleymane Kandé, qui, après avoir nettoyé la Casamance de ses rebelles du Mfdc et permis aux populations de revenir dans leur village qu’ils avaient fui depuis plus d’une décennie pour certains, a été propulsé à la tête des Forces spéciales de l’Armée.
Il s’agit d’un bataillon d’élite composée de véritables « surhommes » surentrainés et suréquipés pour mener un éventail de missions ou d’opérations particulières aux objectifs spécifiques, notamment la lutte contre le terrorisme. En effet, les éléments des Forces spéciales sont des combattants complets. Car ils sont à la fois des paras, des artilleurs, des commandos, des marins etc. Le mouvement a aussi touché le fameux bataillon des parachutistes basé à Thiaroye-gare qui a nouveau chef de corps. Il s’agit de l’officier-parachutiste, le commandant Tafsir Dame Ndiaye.
De retour de l’école de guerre, il remplace à ce poste le commandant Abdoulaye Cissé. Un vrai challenge car n’est pas commandant des paras qui veut, le « bat-Paras » étant une unité d’élite de réserve générale à la disposition du président de la République.
Dakar change de Comzone
En plus des missions communes aux fantassins, les parachutistes disposent d’une capacité d’intervention rapide dans les zones les plus éloignées, les plus reculées et les plus enclavées que ce soit au Sénégal ou sur les théâtres d’opérations extérieures comme à Kolwezi, dans l’ex-Zaïre et actuelle République démocratique du Congo (RDC). Le commandant Khassam Bathily, lui, va diriger le bataillon d’artillerie en remplacement du lieutenant-colonel Gabriel Pathé. Le bataillon de blindés, lui, aura désormais pour patron le commandant Aloise Ndene qui remplace le lieutenant-colonel Mamadou Sarr.
Autre unité de réserve générale qui change de chef, le bataillon des commandos qui sera désormais sous les ordres du commandant Abdou Karim Ba qui remplace le lieutenant-colonel Clément Hubert Boucal. A l’analyse de cette série de décrets signés par le président de la République, force est de constater que pratiquement tous les grands commandants et services stratégiques des armées ont été chamboulés. La très convoitée zone militaire de Dakar, ou N°1 si l’on préfère, a un nouveau chef en la personne du colonel Mbaye Guèye.
Entre autres attributions, il sera chargé d’organiser le défilé militaire du 04 Avril sur l’avenue du général De Gaulle. Il remplace le colonel El Hadj Malick Diagne. C’est sur ces officiers brillants et valeureux, nommés par décrets présidentiels à la tête de grands commandements et services, que le général Cheikh Wade pour mener à bien sa mission de chef d’Etat major général des armées.
Le Témoin
Autrement dit, il a procédé à un excellent casting pour rendre plus performante la Grande muette. L’exemple le plus emblématique de ces nouveaux promus, c’est l’ancien commandant de la zone militaire (comzone) N° 5, le colonel Souleymane Kandé, qui, après avoir nettoyé la Casamance de ses rebelles du Mfdc et permis aux populations de revenir dans leur village qu’ils avaient fui depuis plus d’une décennie pour certains, a été propulsé à la tête des Forces spéciales de l’Armée.
Il s’agit d’un bataillon d’élite composée de véritables « surhommes » surentrainés et suréquipés pour mener un éventail de missions ou d’opérations particulières aux objectifs spécifiques, notamment la lutte contre le terrorisme. En effet, les éléments des Forces spéciales sont des combattants complets. Car ils sont à la fois des paras, des artilleurs, des commandos, des marins etc. Le mouvement a aussi touché le fameux bataillon des parachutistes basé à Thiaroye-gare qui a nouveau chef de corps. Il s’agit de l’officier-parachutiste, le commandant Tafsir Dame Ndiaye.
De retour de l’école de guerre, il remplace à ce poste le commandant Abdoulaye Cissé. Un vrai challenge car n’est pas commandant des paras qui veut, le « bat-Paras » étant une unité d’élite de réserve générale à la disposition du président de la République.
Dakar change de Comzone
En plus des missions communes aux fantassins, les parachutistes disposent d’une capacité d’intervention rapide dans les zones les plus éloignées, les plus reculées et les plus enclavées que ce soit au Sénégal ou sur les théâtres d’opérations extérieures comme à Kolwezi, dans l’ex-Zaïre et actuelle République démocratique du Congo (RDC). Le commandant Khassam Bathily, lui, va diriger le bataillon d’artillerie en remplacement du lieutenant-colonel Gabriel Pathé. Le bataillon de blindés, lui, aura désormais pour patron le commandant Aloise Ndene qui remplace le lieutenant-colonel Mamadou Sarr.
Autre unité de réserve générale qui change de chef, le bataillon des commandos qui sera désormais sous les ordres du commandant Abdou Karim Ba qui remplace le lieutenant-colonel Clément Hubert Boucal. A l’analyse de cette série de décrets signés par le président de la République, force est de constater que pratiquement tous les grands commandants et services stratégiques des armées ont été chamboulés. La très convoitée zone militaire de Dakar, ou N°1 si l’on préfère, a un nouveau chef en la personne du colonel Mbaye Guèye.
Entre autres attributions, il sera chargé d’organiser le défilé militaire du 04 Avril sur l’avenue du général De Gaulle. Il remplace le colonel El Hadj Malick Diagne. C’est sur ces officiers brillants et valeureux, nommés par décrets présidentiels à la tête de grands commandements et services, que le général Cheikh Wade pour mener à bien sa mission de chef d’Etat major général des armées.
Le Témoin