Un enseignant a été cueilli dans sa classe devant ces élèves. L’incident s’est déroulé mercredi matin au lycée de Kabrousse dans la région de Ziguinchor. Une situation qui a suscité l’indignation générale de ses collègues qui ont protesté en désertant les classes pour se rassembler devant la Sous-préfecture.
« Nous sommes devant la Sous-préfecture de Kabrousse, du département d’Oussouye précisément pour fustiger une attitude que nous jugeons nébuleuse. Parce que c’est un acte sans élégance. La gendarmerie est venue ce matin prendre un de nos collègues Biaye en plein cours. Alors qu’il détention une adresse cellule. Nous considérons que la gendarmerie aurait pu attendre la fin de ses cours le trouver chez lui, pour l’arrêter. Le pourquoi nous fustigeons cette attitude », a expliqué Abdou Cisse professeur au lycée de Kabrousse.
Tirant la sonnette d’alarme, ses collègues ont arrêté les cours pour fustiger cette réaction des pandores. « Nous rappelons que nous sommes des enseignants, nous sommes des cadres de l’Etat. Nous formons également des jeunes. Nous sommes responsables de leur éducation. Nous sommes aussi des modèles pour ces jeunes. Nous sommes dans un lycée mixe qui a de la 6e à la terminale. Il y a même des gosses de 12 ans. Tous ces jeunes-là, ont eu peur. Nous avons arrêté les cours aujourd’hui pour fustiger cela. C’est une chose que nous déplorons jusqu'à là dernière énergie », martèle l’enseignant au micro de Walf radio.
« Nous sommes devant la Sous-préfecture de Kabrousse, du département d’Oussouye précisément pour fustiger une attitude que nous jugeons nébuleuse. Parce que c’est un acte sans élégance. La gendarmerie est venue ce matin prendre un de nos collègues Biaye en plein cours. Alors qu’il détention une adresse cellule. Nous considérons que la gendarmerie aurait pu attendre la fin de ses cours le trouver chez lui, pour l’arrêter. Le pourquoi nous fustigeons cette attitude », a expliqué Abdou Cisse professeur au lycée de Kabrousse.
Tirant la sonnette d’alarme, ses collègues ont arrêté les cours pour fustiger cette réaction des pandores. « Nous rappelons que nous sommes des enseignants, nous sommes des cadres de l’Etat. Nous formons également des jeunes. Nous sommes responsables de leur éducation. Nous sommes aussi des modèles pour ces jeunes. Nous sommes dans un lycée mixe qui a de la 6e à la terminale. Il y a même des gosses de 12 ans. Tous ces jeunes-là, ont eu peur. Nous avons arrêté les cours aujourd’hui pour fustiger cela. C’est une chose que nous déplorons jusqu'à là dernière énergie », martèle l’enseignant au micro de Walf radio.