
Après la publication de la liste des médias reconnus par l’État comme étant en règle avec le code de la presse, le ministre de la Communication est passé à la vitesse supérieure en publiant un arrêté, avec effet immédiat, interdisant la diffusion et la publication de tout support médiatique non conforme audit code.
Une décision qui a suscité l’indignation chez les acteurs de la presse et été déplorée par certains hommes politiques. Dans cet élan de dénonciation, Thierno Alassane Sall, député, a estimé qu’il s’agit d’un musellement de la liberté d’expression et de la presse, initié par le régime PASTEF.
Le président de la République des Valeurs appelle ainsi à dénoncer vigoureusement et à combattre, pendant qu’il est encore temps, cette « machination ».
« En choisissant le projet politique de PASTEF, les Sénégalaises et les Sénégalais espéraient en finir définitivement avec les “petites politiques” de censure, de menace, de privation gratuite de liberté et de mise à mal des libertés publiques. En l’espace d’un an, plusieurs personnes ont été emprisonnées pour avoir exprimé une opinion.
Dans le même temps, sous le prétexte fallacieux d’une régulation des médias, des tentatives de réduire au silence la presse libre sont en cours. Des médias fantômes, qui ont porté PASTEF au pouvoir, ont été reconnus, alors que d’autres, bien plus connus dans le paysage médiatique, sont mis sur une liste rouge et interdits de production.
La dernière note du ministre en charge de la Communication est une illustration parfaite de cette politique liberticide », a fustigé Thierno Alassane Sall.
Pour faire face à la situation, le parlementaire invite les Sénégalaises et les Sénégalais épris de justice; citoyens; membres de la société civile; organismes de presse; universitaires et autres intellectuels, à se lever contre ces velléités de dictature. « Les velléités de dictature de PASTEF doivent être cassées, et il ne s’agit point d’un combat partisan», a conclu le président de la République des Valeurs.
Une décision qui a suscité l’indignation chez les acteurs de la presse et été déplorée par certains hommes politiques. Dans cet élan de dénonciation, Thierno Alassane Sall, député, a estimé qu’il s’agit d’un musellement de la liberté d’expression et de la presse, initié par le régime PASTEF.
Le président de la République des Valeurs appelle ainsi à dénoncer vigoureusement et à combattre, pendant qu’il est encore temps, cette « machination ».
« En choisissant le projet politique de PASTEF, les Sénégalaises et les Sénégalais espéraient en finir définitivement avec les “petites politiques” de censure, de menace, de privation gratuite de liberté et de mise à mal des libertés publiques. En l’espace d’un an, plusieurs personnes ont été emprisonnées pour avoir exprimé une opinion.
Dans le même temps, sous le prétexte fallacieux d’une régulation des médias, des tentatives de réduire au silence la presse libre sont en cours. Des médias fantômes, qui ont porté PASTEF au pouvoir, ont été reconnus, alors que d’autres, bien plus connus dans le paysage médiatique, sont mis sur une liste rouge et interdits de production.
La dernière note du ministre en charge de la Communication est une illustration parfaite de cette politique liberticide », a fustigé Thierno Alassane Sall.
Pour faire face à la situation, le parlementaire invite les Sénégalaises et les Sénégalais épris de justice; citoyens; membres de la société civile; organismes de presse; universitaires et autres intellectuels, à se lever contre ces velléités de dictature. « Les velléités de dictature de PASTEF doivent être cassées, et il ne s’agit point d’un combat partisan», a conclu le président de la République des Valeurs.
L’entreprise de musèlement de la liberté d’expression et de presse initiée par le régime PASTEF doit être vigoureusement dénoncée et combattue pendant qu’il est encore temps.
En choisissant le « projet politique » de PASTEF, les Sénégalais et les Sénégalaises espéraient en finir… pic.twitter.com/n0fcqvq5uN
— Thierno Alassane Sall (@TasOfficiel) April 26, 2025
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