Mesut Ozil, le numéro 10 d’Arsenal continue de payer les pots cassés de sa déclaration sur les réseaux sociaux, concernant les Ouïghours, une minorité musulmane réprimée en Chine.
Des déclarations qui ne plaisent pas du côté de la Chine comme le rapporte le DailyMail. En plus d’avoir retiré le joueur du célèbre jeu Pro Evolution Soccer (PES) dans sa version chinoise, les commentateurs du pays ont refusé de dire le nom du joueur des Gunners lors de la rencontre face à Bournemouth (1-1, jeudi dernier).
Pour rappel, le numéro 10 des Gunners avait violemment condamné sur les réseaux sociaux la politique chinoise de sécurité maximale au Xinjiang (nord-ouest), engagée en réponse à des attentats. "Des Corans sont brûlés... des mosquées détruites... les écoles islamiques interdites... des intellectuels religieux tués les uns après les autres... Des frères envoyés par la force dans des camps", s'était indigné Özil sur Twitter et Instagram.
Des déclarations qui ne plaisent pas du côté de la Chine comme le rapporte le DailyMail. En plus d’avoir retiré le joueur du célèbre jeu Pro Evolution Soccer (PES) dans sa version chinoise, les commentateurs du pays ont refusé de dire le nom du joueur des Gunners lors de la rencontre face à Bournemouth (1-1, jeudi dernier).
Pour rappel, le numéro 10 des Gunners avait violemment condamné sur les réseaux sociaux la politique chinoise de sécurité maximale au Xinjiang (nord-ouest), engagée en réponse à des attentats. "Des Corans sont brûlés... des mosquées détruites... les écoles islamiques interdites... des intellectuels religieux tués les uns après les autres... Des frères envoyés par la force dans des camps", s'était indigné Özil sur Twitter et Instagram.