Après la proclamation des résultats définitifs des élections législatives anticipées du 17 novembre par le Conseil constitutionnel, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a signé un décret fixant l’ouverture de la session ordinaire de l’Assemblée nationale au 2 décembre.
En attendant cette échéance, les tractations se poursuivent au sein de l’opposition pour tenter de constituer un groupe parlementaire. Certains ténors plaident pour un regroupement des députés de l’opposition en au moins deux groupes parlementaires, une stratégie qui permettrait d’optimiser leurs chances d’obtenir des postes au sein du bureau de l’Assemblée nationale.
Mais la tâche s’annonce ardue, en à croire le journal L'observateur dans son édition de ce vendredi. Avec un seuil requis de 17 députés pour former un groupe parlementaire, aucune liste de l’opposition n’atteint ce quota. La coalition Takku Wallu Sénégal, en tête parmi les listes de l’opposition, totalise 16 sièges, soit un siège de moins que nécessaire. Cette coalition, dirigée par l’ancien président Macky Sall, est actuellement engagée dans des discussions pour tenter de combler ce déficit.
Des listes élues sur la base du plus fort reste, issues de la "'défunte" coalition Bennoo Bokk Yaakaar, sont particulièrement convoitées. Le camp de Macky Sall s’efforce de convaincre d’anciens collaborateurs de le rejoindre au Parlement. Parmi les personnalités approchées figure Maguette Sène, actuel maire de Malicounda et ancien Directeur général du Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD).
Cependant, Maguette Sène a décliné l’offre, nous apprend le journal. Élu sous la bannière de la liste And Nawlé, il a réaffirmé sa volonté de rester député non-inscrit, indiquant qu’il poursuivra la "marche des terroirs" au sein de l’hémicycle avec les deux sièges obtenus par sa liste.
Autre nom évoqué dans les discussions : Abdou Karim Sall, ancien Directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP). Si ce dernier ne confirme ni n’infirme avoir été sollicité par le camp Macky Sall, il reconnaît que des discussions ont lieu, notamment entre élus de l’opposition.
En attendant cette échéance, les tractations se poursuivent au sein de l’opposition pour tenter de constituer un groupe parlementaire. Certains ténors plaident pour un regroupement des députés de l’opposition en au moins deux groupes parlementaires, une stratégie qui permettrait d’optimiser leurs chances d’obtenir des postes au sein du bureau de l’Assemblée nationale.
Mais la tâche s’annonce ardue, en à croire le journal L'observateur dans son édition de ce vendredi. Avec un seuil requis de 17 députés pour former un groupe parlementaire, aucune liste de l’opposition n’atteint ce quota. La coalition Takku Wallu Sénégal, en tête parmi les listes de l’opposition, totalise 16 sièges, soit un siège de moins que nécessaire. Cette coalition, dirigée par l’ancien président Macky Sall, est actuellement engagée dans des discussions pour tenter de combler ce déficit.
Des listes élues sur la base du plus fort reste, issues de la "'défunte" coalition Bennoo Bokk Yaakaar, sont particulièrement convoitées. Le camp de Macky Sall s’efforce de convaincre d’anciens collaborateurs de le rejoindre au Parlement. Parmi les personnalités approchées figure Maguette Sène, actuel maire de Malicounda et ancien Directeur général du Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD).
Cependant, Maguette Sène a décliné l’offre, nous apprend le journal. Élu sous la bannière de la liste And Nawlé, il a réaffirmé sa volonté de rester député non-inscrit, indiquant qu’il poursuivra la "marche des terroirs" au sein de l’hémicycle avec les deux sièges obtenus par sa liste.
Autre nom évoqué dans les discussions : Abdou Karim Sall, ancien Directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP). Si ce dernier ne confirme ni n’infirme avoir été sollicité par le camp Macky Sall, il reconnaît que des discussions ont lieu, notamment entre élus de l’opposition.