Le Parti démocratique sénégalais (Pds) est mort, vive le Parti démocratique sénégalais libéral (Pdsl) ! Ce nouveau parti que l’on s’apprête à porter sur les fonts baptismaux pour compter de ce jour, vendredi 19 février dans la région de Thiès où les commissaires de « Farba Senghor » mettront à la disposition des responsables et des militants, les nouvelles cartes de membres pour le démarrage des opérations de ventes ou de placement, c’est selon, offre l’occasion à l’ancien ministre et actuel 2ème vice président à l’Assemblée nationale, le député libéral Abdou Fall, responsable politique dans la région et au maire de la cité, Idrissa Seck, de sceller un pacte « d’unité, de défense et de consolidation des acquis » d’une position libérale hégémonique dans la région, « au profit du parti et de son candidat à la présidentielle de 2012, Me Wade ».
Alors la compétition que devraient entraîner les renouvellements enclenchés dans tout ça ? Trop peu pour les deux responsables libéraux régionaux qui, selon Abdou Fall, qui a tenu hier jeudi 18 février point de presse à Thiès, « ont une envergure nationale et internationale depuis fort longtemps et n’ont plus rien à prouver au plan local ». D’autant plus, a martelé l’ancien ministre libéral de la Santé, « que nous n’avons pas attendu aujourd’hui, pour construire, Idrissa Seck et moi-même, notre leadership personnel. Qui peut nier le leadership de Idrissa Seck dans la ville ? ». Et d’asséner pour que nul n’en ignore, « pour Idrissa Seck, les ex-frères de Rewmi et du Pds qui allons nous retrouver plus soudés que jamais dans le Pdsl dès demain (aujourd’hui, Ndlr), ce qui importe c’est l’affermissement de ce socle sur lequel nous sommes assis et qui n’existe nulle part ailleurs.
Cette hégémonie retrouvée dans la région et qui est inobservée pour le parti dans aucune des autres régions du pays est à conserver, à consolider, à défendre comme si c’était pour la prunelle de nos yeux. Nous y mettrons le prix qu’il faut ». Et Abdou Fall de souligner qu’il n’est par ce biais qu’en train d’appliquer la directive du frère Secrétaire général national, Me Abdoulaye Wade qui « le 4 octobre dernier, nous avait demandé, Idrissa Seck et moi-même de travailler la main dans la main et de servir d’exemple ».
Tirant le bilan de son « intervention politique » dans la région et les taches électorales à lui confier, Abdou Fall d’assurer : « j’avais en charge la confection et la conduite de la liste régionale ainsi que celle des 16 autres collectivités locales du département. Aux résultat :la coalition Sopi en a raflé onze, perdu les six dont les cinq sont revenus aux frères de Rewmi et le reste à la coalition Benno Siggil Senegaal. Ce qui fait qu’avec le retour de nos frères du Rewmi, notre camp retrouve son hégémonie dans la région ». Selon lui la coalition Sopi 2009 a eu lors des dernières élections locales sur l’ensemble de la région 111 392 voix contre 95.547 pour Bennoo et 77 787 pour Rewmi. Ce qui fait soulignera-t-il qu’avec le retour de Rewmi, nous doublons la coalition Benno et affermissons notre position hégémonique dans la région.
Par conséquent, « personne ne pourra nous divertir et nous entraîner dans de petites querelles. Nos responsabilités ne nous autorisent pas à nous enliser dans des querelles de quartier. Nous avons un bastion qui est notre région à fortifier et un leadership national à consolider ». C’est que Abdou Fall et Idrissa Seck entendent faire valoir les atouts au congrès.
Quid de la génération du Concret dans tout ça ? Interrogé, le responsable libéral de Thiès, Abdou Fall d’indiquer, biaisant, « que cette union que nous réaffirmons et affermissons ici n’exclut personne. Tous ceux qui voudront dans le souci de renforcer le parti et de se mettre en tension pour la réélection de notre candidat, le président Wade y ont leur place ». On aura remarqué l’absence de représentant de « cette sensibilité libérale » dite proche de Karim Wade à la rencontre d’hier. En vérité à Thiès tout comme un peu partout dans le pays, s’érigent des barricades contre ceux que d’aucuns au sein du Pds considèrent certes dans l’anonymat, comme un hold-up des instances au profit du fils et de ses cercles. Idrissa Seck qui continue à s’emmurer et Abdou Fall ne font que signifier clairement qu’ils ne se laisseront pas ravalés. Ils se fortifient.
Alors la compétition que devraient entraîner les renouvellements enclenchés dans tout ça ? Trop peu pour les deux responsables libéraux régionaux qui, selon Abdou Fall, qui a tenu hier jeudi 18 février point de presse à Thiès, « ont une envergure nationale et internationale depuis fort longtemps et n’ont plus rien à prouver au plan local ». D’autant plus, a martelé l’ancien ministre libéral de la Santé, « que nous n’avons pas attendu aujourd’hui, pour construire, Idrissa Seck et moi-même, notre leadership personnel. Qui peut nier le leadership de Idrissa Seck dans la ville ? ». Et d’asséner pour que nul n’en ignore, « pour Idrissa Seck, les ex-frères de Rewmi et du Pds qui allons nous retrouver plus soudés que jamais dans le Pdsl dès demain (aujourd’hui, Ndlr), ce qui importe c’est l’affermissement de ce socle sur lequel nous sommes assis et qui n’existe nulle part ailleurs.
Cette hégémonie retrouvée dans la région et qui est inobservée pour le parti dans aucune des autres régions du pays est à conserver, à consolider, à défendre comme si c’était pour la prunelle de nos yeux. Nous y mettrons le prix qu’il faut ». Et Abdou Fall de souligner qu’il n’est par ce biais qu’en train d’appliquer la directive du frère Secrétaire général national, Me Abdoulaye Wade qui « le 4 octobre dernier, nous avait demandé, Idrissa Seck et moi-même de travailler la main dans la main et de servir d’exemple ».
Tirant le bilan de son « intervention politique » dans la région et les taches électorales à lui confier, Abdou Fall d’assurer : « j’avais en charge la confection et la conduite de la liste régionale ainsi que celle des 16 autres collectivités locales du département. Aux résultat :la coalition Sopi en a raflé onze, perdu les six dont les cinq sont revenus aux frères de Rewmi et le reste à la coalition Benno Siggil Senegaal. Ce qui fait qu’avec le retour de nos frères du Rewmi, notre camp retrouve son hégémonie dans la région ». Selon lui la coalition Sopi 2009 a eu lors des dernières élections locales sur l’ensemble de la région 111 392 voix contre 95.547 pour Bennoo et 77 787 pour Rewmi. Ce qui fait soulignera-t-il qu’avec le retour de Rewmi, nous doublons la coalition Benno et affermissons notre position hégémonique dans la région.
Par conséquent, « personne ne pourra nous divertir et nous entraîner dans de petites querelles. Nos responsabilités ne nous autorisent pas à nous enliser dans des querelles de quartier. Nous avons un bastion qui est notre région à fortifier et un leadership national à consolider ». C’est que Abdou Fall et Idrissa Seck entendent faire valoir les atouts au congrès.
Quid de la génération du Concret dans tout ça ? Interrogé, le responsable libéral de Thiès, Abdou Fall d’indiquer, biaisant, « que cette union que nous réaffirmons et affermissons ici n’exclut personne. Tous ceux qui voudront dans le souci de renforcer le parti et de se mettre en tension pour la réélection de notre candidat, le président Wade y ont leur place ». On aura remarqué l’absence de représentant de « cette sensibilité libérale » dite proche de Karim Wade à la rencontre d’hier. En vérité à Thiès tout comme un peu partout dans le pays, s’érigent des barricades contre ceux que d’aucuns au sein du Pds considèrent certes dans l’anonymat, comme un hold-up des instances au profit du fils et de ses cercles. Idrissa Seck qui continue à s’emmurer et Abdou Fall ne font que signifier clairement qu’ils ne se laisseront pas ravalés. Ils se fortifient.