Le Conseil des organisations non-gouvernementales d’appui au développement (CONGAD) en synergie avec d’autres composantes de la Société civile nationale, a organisé pour la première fois « Les Assises nationales de la Société civile du Sénégal », ce vendredi 14 décembre 2018, à Dakar. Une occasion pour son Président Amacodou Diouf de lancer un appel fort à l’endroit du secteur privé national.
« L’option de développement économique tracée par le PSE requiert une analyse lucide de la situation de notre pays, mais plus, une synergie entre les acteurs. C’est le lieu de lancer un appel fort à l’endroit du secteur privée national pour une synergie dans la réflexion stratégique pour le devenir du Sénégal, ensemble (secteur privé et société civile), nous pouvons construire les ponts du développement », lance Amacodou Diouf, président du CONGAD.
Ces Assises nationales de la Société civile du Sénégal permettent de montrer, selon lui, que « les Etats ne doivent plus être les seuls acteurs de la vie internationale, et qu’il n’est pas possible de ne parvenir à une stabilité du système international sans que les acteurs Étatiques et l’ensemble des acteurs internationaux extra-étatiques coordonnent et harmonisent leurs stratégies ».
Aux yeux d'Amacodou Diouf, « derrière le concept de ‘’gouvernance mondiale’’, figure « l’idée de stabilité du système, d’un équilibre minimal pour le bien de tous ». Or, soutient-il, « cette stabilité ou cet équilibre ne peut être atteint sans un minimum d’égalité ».
Dans le projet de termes de Référence des Assises nationales de la Société civile, il est mentionné que « des rapports inégalitaires fleurissent un peu partout, en particulier entre le nord et le sud, mais aussi au sein de la CEDEAO : les inégalités trop fortes deviennent insupportables, génèrent de l’instabilité, de l’incertitude, de l’émigration, des conflits, de l’insécurité ».
Le Président du CONGAD, a tenu précisé que l’événement a pour objectif la finalisation par les acteurs, du cadre, des orientations et des mécanismes de travail pour la tenue des Assises nationales de la société civile». Avant de préciser qu’il s’agit de s’approprier davantage le contenu du document finalisé de Termes de Références des Assises, la mise en place des organes de gouvernance du processus des assises (le bureau ainsi que les commissions).
Plusieurs autorités et personnalités ont marqué de leur présence à cet atelier et près de 500 participants représentant les organisations de la Société civile nationale (OCB, ONG, Syndicats, Diaspora entre autres).
« L’option de développement économique tracée par le PSE requiert une analyse lucide de la situation de notre pays, mais plus, une synergie entre les acteurs. C’est le lieu de lancer un appel fort à l’endroit du secteur privée national pour une synergie dans la réflexion stratégique pour le devenir du Sénégal, ensemble (secteur privé et société civile), nous pouvons construire les ponts du développement », lance Amacodou Diouf, président du CONGAD.
Ces Assises nationales de la Société civile du Sénégal permettent de montrer, selon lui, que « les Etats ne doivent plus être les seuls acteurs de la vie internationale, et qu’il n’est pas possible de ne parvenir à une stabilité du système international sans que les acteurs Étatiques et l’ensemble des acteurs internationaux extra-étatiques coordonnent et harmonisent leurs stratégies ».
Aux yeux d'Amacodou Diouf, « derrière le concept de ‘’gouvernance mondiale’’, figure « l’idée de stabilité du système, d’un équilibre minimal pour le bien de tous ». Or, soutient-il, « cette stabilité ou cet équilibre ne peut être atteint sans un minimum d’égalité ».
Dans le projet de termes de Référence des Assises nationales de la Société civile, il est mentionné que « des rapports inégalitaires fleurissent un peu partout, en particulier entre le nord et le sud, mais aussi au sein de la CEDEAO : les inégalités trop fortes deviennent insupportables, génèrent de l’instabilité, de l’incertitude, de l’émigration, des conflits, de l’insécurité ».
Le Président du CONGAD, a tenu précisé que l’événement a pour objectif la finalisation par les acteurs, du cadre, des orientations et des mécanismes de travail pour la tenue des Assises nationales de la société civile». Avant de préciser qu’il s’agit de s’approprier davantage le contenu du document finalisé de Termes de Références des Assises, la mise en place des organes de gouvernance du processus des assises (le bureau ainsi que les commissions).
Plusieurs autorités et personnalités ont marqué de leur présence à cet atelier et près de 500 participants représentant les organisations de la Société civile nationale (OCB, ONG, Syndicats, Diaspora entre autres).