Les assises nationales de la justice suscitent tout de même de l'intérêt de part et d'autres. Des spécialistes aux praticiens du droit en passant par les organisations de défense des droits humains. C'est dans cet esprit que l'Action pour les Droits Humains et l'Amitié (ADHA) a tenu à faire part de suggestions allant dans le sens d'être plus efficace et pragmatique. Sur sa note qui nous est parvenue, l'ADHA souligne la chance que le Sénégal a d’avoir des experts chevronnés qui ont eu à produire des rapports sur la réforme et la modernisation de la justice. C'est pourquoi, l'organisation suggère aux nouvelles autorités "de saisir les véritables acteurs et experts de la question par courrier et en leur faisant parvenir le document de référence de 2018 ainsi que tout autre document en lien avec la thématique". Pour ses membres ce document de 2018 aiderait beaucoup à gagner du temps mais également d'économiser de l'argent.
En outre, l'ADHA pense qu'il est nécessaire de procéder à la réforme de la justice. Revenant sur ses précédentes propositions tendant à réformer la justice, l'organisation a invoqué un communiqué du 22 décembre 2013. Lequel communique s'intitulait : "RETOUR DE PARQUET, INSTRUCTION SYSTEMATIQUE ET DROIT DE VOTE DES DETENUS, L’ADHA S’INTERROGE ET SUGGERE".
Outre mesure, l'ADHA dit ne pas trouver pertinent l'idée de tenir ces assises. Ainsi, martèle-t-elle avec les propos suivants, "néanmoins, nous pensons que l’organisation des assises nationales de ce mardi 28 mai 2018, n’était pas une nécessité absolue, dans la mesure où, en mars-avril 2018, présidée par le professeur émérite Jacob NDIAYE. Un rapport intitulé : « Comité de concertation sur la modernisation de la justice » avait été produit par les acteurs de la justice, parmi lesquels des universitaires, des magistrats, des défenseurs des droits humains ainsi que des justiciables".
En outre, l'ADHA pense qu'il est nécessaire de procéder à la réforme de la justice. Revenant sur ses précédentes propositions tendant à réformer la justice, l'organisation a invoqué un communiqué du 22 décembre 2013. Lequel communique s'intitulait : "RETOUR DE PARQUET, INSTRUCTION SYSTEMATIQUE ET DROIT DE VOTE DES DETENUS, L’ADHA S’INTERROGE ET SUGGERE".
Outre mesure, l'ADHA dit ne pas trouver pertinent l'idée de tenir ces assises. Ainsi, martèle-t-elle avec les propos suivants, "néanmoins, nous pensons que l’organisation des assises nationales de ce mardi 28 mai 2018, n’était pas une nécessité absolue, dans la mesure où, en mars-avril 2018, présidée par le professeur émérite Jacob NDIAYE. Un rapport intitulé : « Comité de concertation sur la modernisation de la justice » avait été produit par les acteurs de la justice, parmi lesquels des universitaires, des magistrats, des défenseurs des droits humains ainsi que des justiciables".
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