Trois (3) individus ayant trempé dans une vaste affaire de recyclage de fausses cartes grises, ont été démasqués au terme d’une enquête de la police de Yeumbeul. Ces faussaires bénéficiant de complicité à des niveaux insoupçonnés, en profitaient pour se remplir les poches, en remettant dans le circuit des cartes grises caduques.
En effet, dans le contrat établi par l’Etat pour faire circuler les bus Tata, il était convenu que chaque transporteur, propriétaire de « car rapide », devait, pour bénéficier de ce projet et disposer d’un bus Tata, livrer le « car rapide » destiné à la casse, de même que tous les papiers afférents à sa circulation. Parmi ces papiers, la fameuse carte grise qui a inspiré un groupe de faussaires.
Ces faussaires ont réussi à mettre la main sur ces cartes grises qui devaient être détruites. Plusieurs cartes grises ont été remises dans le circuit pour aider à mettre en circulation des véhicules ne disposant d’aucun papier. Il en sera ainsi jusqu’au jour où la police de Yeumbeul est saisie d’une plainte par un individu qui a constaté que des cartes grises confectionnées en 2016 et appartenant à des véhicules conduits à la casse, continuent d’être utilisées.
Une enquête est alors ouverte par les limiers qui infiltrent le réseau et se positionnent aux services des mines. Une stratégie qui a abouti à l’arrestation de trois individus (M. Sy, D. Mbaye et O. Diagne), dont « le fils d’une influente personnalité de Aftu », informe « L’Observateur ».
En effet, dans le contrat établi par l’Etat pour faire circuler les bus Tata, il était convenu que chaque transporteur, propriétaire de « car rapide », devait, pour bénéficier de ce projet et disposer d’un bus Tata, livrer le « car rapide » destiné à la casse, de même que tous les papiers afférents à sa circulation. Parmi ces papiers, la fameuse carte grise qui a inspiré un groupe de faussaires.
Ces faussaires ont réussi à mettre la main sur ces cartes grises qui devaient être détruites. Plusieurs cartes grises ont été remises dans le circuit pour aider à mettre en circulation des véhicules ne disposant d’aucun papier. Il en sera ainsi jusqu’au jour où la police de Yeumbeul est saisie d’une plainte par un individu qui a constaté que des cartes grises confectionnées en 2016 et appartenant à des véhicules conduits à la casse, continuent d’être utilisées.
Une enquête est alors ouverte par les limiers qui infiltrent le réseau et se positionnent aux services des mines. Une stratégie qui a abouti à l’arrestation de trois individus (M. Sy, D. Mbaye et O. Diagne), dont « le fils d’une influente personnalité de Aftu », informe « L’Observateur ».