C'est un nouveau chapitre qui s'ouvre pour Aminata Assome Diatta et ses militants. L'ancien ministre du Commerce a officiellement lancé son parti politique dénommé Parti pour le procès social et collectif (Psc) pour aller à l'assaut de la prochaine présidentielle. M. Diatta assure que son entrée en politique n'est guidée que son désir d'améliorer les conditions cade vie des Sénégalais.
«En tant que haut fonctionnaire, je pourrais bien tenter ma chance pour une carrière internationale mais par gratitude pour tout ce que l'Etat du Sénégal a fait pour moi j'ai décidé de rester», a t-elle déclaré avant de tendre la main à ses compatriotes qui veulent construire un Sénégal inclusif.
«Le Président m'a demandé de marquer une pause»
Aminata Assome Diatta a saisi l'occasion pour solder ses comptes avec Macky Sall. Le leader du Parti pour le procès social et collectif (Psc) de rappeler que c'est en septembre 2022 qu'elle a quitté le gouvernement, mais sans en tenir rigueur au Président Macky Sall, malgré la colère de son entourage. Elle révèle que certains sont allés jusqu'à lui proposer de partir pour créer son parti, mais elle a dit niet.
«Le président m'a ensuite reçue en octobre pour me dire qu'il n'était pas content des résultats des deux élections, avant de me demander de marquer une pause», a t-elle affirmé avant de poursuivre ses explications : «cela m'avait d'ailleurs un peu secouée. Je signale que le président m'avait proposé son aide pour rejoindre à nouveau la Zlecaf, mais je lui ai fait savoir que je voulais rester travailler pour le Sénégal et je lui ai promis de le tenir informé de mes orientations», a t-elle ajouté.
Comme promis, Aminata Assome Diatta a tenu à informer le Président Macky Sall de la création de son parti. « Comme je lui avais promis, nous lui avons écrit une lettre qui est restée sans réponse. C'est lorsque qu'il a annoncé ne pas être candidat que nous avons décidé de nous réunir pour concrétiser notre parti», a t-elle assuré.
Pour ce qui est du programme qu'elle compte présenter aux Sénégalais pour la présidentielle de 2024, Assome Diatta parle de projet de répartition sociale. A travers le choix de nos couleurs, nous v sons la vérité avec le bleu, paix avec le blanc et le jau pour la prospérité», dira-elle dans les colonnes du journal Les Echos.
«En tant que haut fonctionnaire, je pourrais bien tenter ma chance pour une carrière internationale mais par gratitude pour tout ce que l'Etat du Sénégal a fait pour moi j'ai décidé de rester», a t-elle déclaré avant de tendre la main à ses compatriotes qui veulent construire un Sénégal inclusif.
«Le Président m'a demandé de marquer une pause»
Aminata Assome Diatta a saisi l'occasion pour solder ses comptes avec Macky Sall. Le leader du Parti pour le procès social et collectif (Psc) de rappeler que c'est en septembre 2022 qu'elle a quitté le gouvernement, mais sans en tenir rigueur au Président Macky Sall, malgré la colère de son entourage. Elle révèle que certains sont allés jusqu'à lui proposer de partir pour créer son parti, mais elle a dit niet.
«Le président m'a ensuite reçue en octobre pour me dire qu'il n'était pas content des résultats des deux élections, avant de me demander de marquer une pause», a t-elle affirmé avant de poursuivre ses explications : «cela m'avait d'ailleurs un peu secouée. Je signale que le président m'avait proposé son aide pour rejoindre à nouveau la Zlecaf, mais je lui ai fait savoir que je voulais rester travailler pour le Sénégal et je lui ai promis de le tenir informé de mes orientations», a t-elle ajouté.
Comme promis, Aminata Assome Diatta a tenu à informer le Président Macky Sall de la création de son parti. « Comme je lui avais promis, nous lui avons écrit une lettre qui est restée sans réponse. C'est lorsque qu'il a annoncé ne pas être candidat que nous avons décidé de nous réunir pour concrétiser notre parti», a t-elle assuré.
Pour ce qui est du programme qu'elle compte présenter aux Sénégalais pour la présidentielle de 2024, Assome Diatta parle de projet de répartition sociale. A travers le choix de nos couleurs, nous v sons la vérité avec le bleu, paix avec le blanc et le jau pour la prospérité», dira-elle dans les colonnes du journal Les Echos.