Le responsable du Mouvement pour la Démocratie et la République (MDR), n’a pas mis du temps pour répondre aux nombreuses attaques d’Aïda Mbodji contre sa personne. Selon lui, «cherchant un prétexte pour s’attaquer à (sa) personne, Aïda Mbodji soutient qu’elle répondait à des propos qu' (il) aurait tenus à son endroit lors de (sa) rencontre avec la presse à Bambèye le 13 août 2016».
Poursuivant ses propos, il a rappelé que c’est un journaliste qui lui a posé la question suivante : «vous risquez de ne pas avoir d’adversaires lors de cette élection puisque la fédération départementale du PDS de Bambey a déclaré qu’elle va boycotter ce scrutin».
« J’ai d’abord répondu que ceci n’est pas conforme à ce que j’ai entendu du communiqué de la direction du PDS. J’ai ensuite ajouté que c’est seulement à la publication des listes que je saurai qui participe ou qui boycotte. L’histoire m'a d’ailleurs donné raison puisque le PDS a bel est bien une liste », a-t-il expliqué.
Avant de préciser que : «Le PDS n’est pas le seul parti ayant des conseillers dans le département à avoir décidé de boycotter. Jamais je n’ai eu à prononcer son nom au cours de cette conférence».
Prenant à témoin l’opinion, l’ancien ministre a signifié que «rien ne saurait donc justifier la virulence de ses propos sur (sa) personne ». A l’en croire, ce n’est pas la première fois, il en est ainsi depuis plusieurs années.
Poursuivant ses propos, il a rappelé que c’est un journaliste qui lui a posé la question suivante : «vous risquez de ne pas avoir d’adversaires lors de cette élection puisque la fédération départementale du PDS de Bambey a déclaré qu’elle va boycotter ce scrutin».
« J’ai d’abord répondu que ceci n’est pas conforme à ce que j’ai entendu du communiqué de la direction du PDS. J’ai ensuite ajouté que c’est seulement à la publication des listes que je saurai qui participe ou qui boycotte. L’histoire m'a d’ailleurs donné raison puisque le PDS a bel est bien une liste », a-t-il expliqué.
Avant de préciser que : «Le PDS n’est pas le seul parti ayant des conseillers dans le département à avoir décidé de boycotter. Jamais je n’ai eu à prononcer son nom au cours de cette conférence».
Prenant à témoin l’opinion, l’ancien ministre a signifié que «rien ne saurait donc justifier la virulence de ses propos sur (sa) personne ». A l’en croire, ce n’est pas la première fois, il en est ainsi depuis plusieurs années.